Amandine, princesse du peuple [réécriture en cours]

Jeudi 12 Décembre

Bonjour à tous, je ne vous ai jamais vraiment parlé. Avant que vous ne lisiez ce 12ème Chapitre, je souhaiterais vous donner quelques explications...
Premièrement, cette histoire a été commencée il y a plus de 2 ans, donc depuis, j'ai évoluée. Il y a sûrement quelques incohérences et j'en suis désolée. Je corrige les chapitre parfois plus d'un an après leur écriture donc j'essaye de rectifier certaines choses, mais changer l'histoire au complet n'est pas au programme.
Deuxième, comme vous l'aurez compris, je n'est pas un rythme régulier: que ce soit dans l'écriture ou dans les posts de mes chapitres... Cela s'explique par le fait que mon inspiration est très fluctuante et que je me concentre actuellement sur un autre gros projet. J'étudie également et ceci me prend du temps...
J'aimerais avoir votre avis tout de même...

Bonne lecture !

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Je demande à mon Père d'avancer le rendez-vous avec Clémentine à ce matin, 9h. Il a finit par accepter. Je vais à la tour Effel. Une fois arrivé, je retrouve mon amie. Nous sommes très heureuses de nous revoir. Je décide de me lancer : « Bon, voilà, j'ai besoin de toi. Je sais pas si tu es au courant mais il y a quelques jour, j'ai fait une fugue. J'ai envie de prendre l'air. De plus, j'ai appris que c'est la catastrophe dans le reste du pays. J'ai eu la chance de pouvoir aider mes amis pour leurs projets de résistance et j'aimerais beaucoup continuer ici. J'ai la faveur que le peuple m'adore donc, ils vont sûrement m'écouter. C'est un projet qui commencera par être secret puis nous le dévoilerons afin que les autorités se mettent de notre côté. C'est fou, je sais. Mais tu vas peut-être pouvoir m'aider.

- Oui, je suis au courant de la situation de la France. J'aimerais beaucoup t'aider. » Me dit-elle.

Ces phrases me réchauffent le cœur. Nous commençons par quelque prospectus pour une réunion/débat, puis je le dirai à haute voix lors de la cérémonie de dimanche prochain. Nous savons qu'il faut agir vite et bien. Je vais demander de l'aide à certains de mes contacts pour avoir plus de possibilités. J'attends le rapport de Charles. Nous parlons de ceci pendant au moins trois bonnes heures. Ensuite, nous décidons d'aller manger dans un snacks. Nous allons ensuite à la poste, pour voir si j'ai reçu la fameuse lettre que j'attends impatiemment. Le facteur nous informe qu'elle est bien arrivée et nous la donne. Nous décidons d'aller la lire sous la tour Effel. J'ouvre l'enveloppe avec enthousiasme et la lit à haute voix : « Ma chère amie, je voulais te dire que la situation ici c'est aggravée. Les tensions entre les personnes de différentes opinions par rapport à cette situation politique ont augmentées. Certains ont essayé de nous mettre en tête ces idées hideuses. De plus en plus, les personnes les moins « fortes » y crois et sont presque à les suivre. Je sais que tu fais tout pour nous aider. Je n'ai jamais dit ça avant, mais j'ai peurs : nous avons tous peur. Une guerre va peut être bientôt éclater et nous sommes à deux doigts de nous faire remarquer. Nous ferons ce que nous pouvons mais nous ne tiendrons pas longtemps. Nous t'adorons, avec amitié, Charles. »

Cette lettre nous donne encore plus envie de nous battre. Nous donnons des prospectus dans les bars, restaurants, hôtels, commerces... Chacun sont très surpris et veulent bien nous aider.

Il est maintenant 17h et je dois rentrer pour prendre le thé avec ce Jean-Édouard. Je propose à Clémentine de venir avec moi, elle accepte. Je suis heureuse qu'elle soit à mes côtés, car ses blagues nuls et ses manières soi elles t'agacent, soi elles te font pleurer de rire.
Nous arrivons au château, nous entrons. Mathurin le major d'homme, nous informe que l'on nous attend dans le grand salon. Après que nous ayons enfilé une robe nous marchons en direction de la dite pièce. Mon Père est assis sur un fauteuil, en face de Jean-Édouard. Mon chère « prétendant » me demande : « Alors bien dormi ? Nous n'avons pas eu de vos nouvelles ce matin.