XXIII

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- Val, on peut parler ?
- Je suis occuper, si c'est pour me parler encore de Ruggero, j'ai compris. Me dit-elle froidement.
- Donc c'est sa le problème ? Réplique-je sur les nerfs. Tu aime pas Ruggero ? C'est ça ? Dit-je froidement.
- C'est un mec à fille, toi juste il te dit des mots doux, tu tombe dans le panneau, pi t'entendre tout les cinq minutes parler de lui sa m'agace, y a pas que toi. Me dévoile t-elle froidement.
- J'arrive pas à y croire... tout ce temps que tu me disais que tu était heureuse pour moi... commence-je.
- C'était faux, oui, pour pas te faire du mal, mais crois moi, t'étonne pas quand il te trompera. Dit-elle mesquinement.
- Qu'es-ce que t'a dit ? Intervient Ruggero.
- Que sa m'étonnera pas quand tu la trompera. Répond Val.
- Val, il t'arrive quoi en ce moment ? S'interpose Agustín.
- Je dit tout haut ce que je pense tout bas. Réplique t-elle.
- Sans voir le mal que tu fait ? Tu te rend compte que Ruggero a énormément changer depuis qu'il est avec Karol, tu tiens réellement à brisé un couple comme ça, en remuent le passé? C'est pas parce que madame est accepter à Stanford que tout de suite tu dois te prendre pour madame ! Hurle Mike.
- Quoi ? Dit-jz surprise.
- Eh merde.. souffle Mike.
- Tù m'en n'avait pas parler... dit-je tout bas.

S'en ai de trop, je m'en vais avant de dire quelques choses que je vais regretter, et si elle avant raison ? Après tout on ne change pas d'un coup comme ça ? Qui sais, peut être qu'il me trompe au final ?
Non, impossible, ou peut être que oui ?
Je suis partie du lycée séchant la dernière heure, de toute façon c'est italien, peut importe, elle compte pas pour le bac.
Je prends le bus et m'arrête au terminus, je marche jusqu'à une petite maison jaune, je pourrais la reconnaître comme jamais, la maison de mes grands parents, les parents de mon père. Je frappe à la porte, quelques minutes plus tard mon grand-père m'ouvre, une fois qu'il me vois il me sourit.

-Karolinette, qu'est-ce que tu fait la ? On est mardi, tu n'à pas lycée ? Me dit-il en me prenant dans ses bras.
- Non, non... mentais-je.
- Mouai... aller rentre.

***

- Tù grandit tellement vite, ton papa serais fière. Me sourit-elle.
- J'espère qu'il est fière de moi... souriais-je
- Vous aller me manquez quand j'irais à Oxford...
- Tù nous manquera aussi, ma puce, je vais appeler Thomas d'ailleurs pour savoir si ta chambre est prête. Dit-elle en se lèvent .

Je ris, ma grand-mère ne sais pas que Ruggero viendra habiter la bas lui aussi.

- À quoi tu pense ? Me demande mon grand-père.
- À ma vie, comment j'en suis arrivé là...
- Comment ça ? S'interroge t-il.
- Je sort avec un garçon, Ruggero, je l'aime énormément mais c'est dernière année, il a pas eu de très bonne réputation je vais pas te faire un dessin. Valentina crois qu'il est encore comme avant et...
- Qu'il te trompe ? Fini t-il ma phrase.
- Oui...
- Tù sais, quand j'étais jeune dans les années 60' j'étais comme ce garçon, je fréquente des filles puis je les jetées comme des mal propre... mais à la seconde où j'ai rencontrer ta grand-mère, en 1967, j'ai complètement changer, je suis devenu ce gros papy gâteaux.

Je ris, papy gâteaux c'est son surnom, il fait tout le temps des gâteaux, vraiment !

- J'espère que c'est le cas pour Ruggero... dit-jz doucement.
- Invite le.
- Quoi ?
- Invite le à manger, il ne rencontrera, malheureusement jamais, mon fils mais sa seras tout comme, je vais appeler ta mère pour que vous veniez mangez samedi, tu veux bien ?
- Merci papy... pas de gaffe hein, pas de blague bizarre aussi ! Le sermonne-je.
- Promis ! Rit-il.

***

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