Nos cicatrices

Chapitre 14 ⚡

pdv draco

Nous somme le 2 février et je n'ai toujours pas trouver de solutions pour ma marque et la cicatrice d'Hermione. Ce n'est pas faute de chercher. J'y passe mes jours et mes nuits tant bien que je n'arrive pas à suivre en cours. Heureusement Hermione me prête des cours. Ça fait dailleur un moment qu'elle n'a pas participer au recherche. Depuis qu'on a échoué au premier test en fait. Je décide d'aller la voir. Je me lève de mon lit et vais taper à sa porte.

- Oui ?
-Salut. Je ne suis d'un coup plus certain de que se soit un bonne idée
-Tu a besoins de mes cours ?
Elle ne tourne même pas la tête vers moi
-Heu non, en fait je voulais te demander si tu voulais faire des recherches pour la potion.
Je l'entend soupirer puis fermer un livre qu'elle garde entre ses mains.
- Draco, ça ne sert à rien,on a tout fait , il faut te rendre à l'évidence, la potion est un mensonge.
Je commence à m'énerver
-Où est passée la Hermione qui croyait toujours que tout était possible?!
-Elle est partie il y a bien longtemps
Je la sens se rembrunir
Je m'avance vers elle de quelque pas
-Tu disais qu'il ne fallait pas perdre espoir,moi je le crois toujours, c'est possible, on peux y arriver
Je crie un peut
-Non Draco, tu comprend pas ! C'est finit faut t'y faire !
En disant ça elle se lève et se met face à moi.
-Si tu arrêter de te plonger dans ses livres toute la journée tu verrais le monde autour de toi, tu verrais qu'il y a de l'espoir ! En même temps que mes mots sortent de ma bouche je lui arrache son livre des mains. Qui ressemble plus à un carnet en fait.
-Draco rend le moi ! Son ton est ferme

Je regarde la première de couverture, quelque lettre y sont écrite délicatement à la mains :
H E R M I O N E.
ça m'intrigue alors je l'ouvre, c'est un journal.
-DRACO !

Je ne l'écoute pas et met le carnet de sorte à ce qu'elle ne puisse pas l'atteindre mais que je puisse le lire.

Mes yeux parcours les mot ecrit sur les fines pages. d'abord des moments joyeux puis plus je tourne les pages plus ce qui y est écrit devient sombre. Jusqu'à ce que  je tombe sur une page qui me brise le coeur :

«  j'était une petite fille heureuse dans son petit monde et qui rêver. Maintenant je suis âgée et gris. Je ne sais pas quoi dire de plus sur cette vie que je voudrais quitter. Je rêve de pouvoir voler du plus haut pont. Je pourrais tenter un jour, juste pour voir. Le soir je fais de longue promenade dans les aller noirs. Je me demande qui je dois être. Seul moi peux le savoir mais comment le savoir quand on est aussi perdue que je le suis? J'ai encore reçus une lettre ce matin. C'est la 10 ou 12ème, je ne sais pas, je ne compte plus. Celle-là était encore pire que les autres mais je ne peux rien y faire à part la placer avec les autres dans une boite hors de ma vue. Tout les jours je continue à me battre contre ces voix dans ma tête qui me dise que je ne vaut rien. J'ai besoin de me rappeler qui j'étais. Mes amis disent que je suis aimé mais je ne ressent rien. Ils disent que je suis forte mais je me sens si faible. IL faut continuer à se battre mais c'est si dur. Je sens qu'a tout moment tout peut basculer. »

Je baisse ma tête vers elle et la regarde dans les yeux. J'essaie de faire passer tout ce que je peux dans ce regard, lui dire qu'elle n'est pas seul et qu'elle peut compter sur moi. Mon bras ce baisse lentement. Elle récupère vite le carnet et me pousse dehors dans que je ne puisse rien faire.
Il faut que j'arrive à lui changer les idées. Je sais exactement quoi faire.

Je sors du dortoir des préfet et vais voir Blaise. Je le trouve entre deux filles dans le dortoir des Serpentard.

-Blaise, j'ai besoin de toi pour organisé une fête
Il fait signe au fille de dégager.
-Dit -moi tout ?
-Je veux une fête pour ce soir 21h au dortoir des préfets
-Tes colocs sont ok ?
-On s'en fou de leur avis. Ha et invite les Griffondors potes d'Hermione aussi
-Les Griffondors ?
-Je t'expliquerais plus tard.
-Tu auras une fête pour 21h ce soir, tu peut compter sur moi.
-Merci Blaise tu gère
Je repars aussitôt.

La nuit tombe assez vite et Blaise arrive au dortoirs 2 heures avant le début de la soirée.
On prépare tout ensemble et les premiers invité commence par arriver.

-Qu'est ce qu'il ce passe...ici.
-Salut Hermy ! s'exclame Blaise
-Une soirée ? Vraiment ?
-Rhooo fait pas la rabat-joie, viens danser
Hermione hésite quelque seconde puis se laisse emporter par Blaise. Ça à fonctionner.
Je la regarde du coins de l'œil pendant que je me sert un verre au bar, je ne l'ai jamais vu autant se lâcher. Tellement que ça me paraît louche.

La soirée finit vers les environs de 2h du matin. Quand tout le monde est partit Blaise m'aide à tout ranger ce qui en trois coup de baguette est terminer.
-Merci Blaise
-Tu va m'expliquer pourquoi tout ça ?
-Je peux pas vraiment tout te dire mais disons qu'Il fallait qu'Hermione se change les idées.
-Très romantique
-Ta gueule Blaise.
Je le raccompagne à la sortit et on se souhaite bonne nuit.

Je me dirige ensuite vers la chambre d'Hermione et toque. Elle ne répond pas donc décide d'ouvrir.
Mon regard balaye la pièce mais ne la trouve pas. Au lieu de ça je vois sur son bureau un tube orange avec à coté un tas blanc. Je m'approche et prend le tube entre mes mains pour lire l'étiquette.  ANTIDÉPRESSEUR.  Son contenus est vidé sur le surface en bois ; tout les cachets.
J'entends une porte s'ouvrir puis la vois sortir de la salle de bains.

-Draco ? Qu'est ce que tu fait dans ma chambres
Je me décale pour la laisser voir le tas blanc
-Tu M'explique ?
Son visage se fige
-Tu comptais faire quoi avec ça ?
Le ton de ma vois s'élève
-Ri...Rien la boîte c'est renversé.
-Arrête de mentir Hermione.
-Draco arrête
-TU COMPTAIS FAIRE QUOI PUTAIN ?
Elle est effrayée et ses yeux se remplissent de larmes
-Pardon désolée, je voulais pas te faire peur
Je m'approche d'elle et prends mon visage dans mes mains
-Hermione, si je pouvais remonter le temps et faire que tout va bien. Réécrire tout l'histoire je le ferais mais s'il te plais ne fais pas ça. Si je te perds je perds tout.

Elle se met à pleurer. Je la prends dans mes bras et nous restons comme ça un moment.