Broken Heart, Torn Mind

Seventeen - This story end

-Il fait sombre, je ne vois rien... Je suis vide.

- Non tu ne l'est pas. Tu m'as moi.

- Je ne peux plus t'avoir...

- Mais je suis avec toi pourtant. Et je le serai toujours. Et arrête de dire que tu n'a rien, tu as mon amour pour toi.

- Je n'ai pas sus te sauver. Je ne mérite pas ton amour.

- Si tu vois les choses sous cette angle il est vrai que tu n'a rien.

- ...

- Tu n'es qu'un Vilain aux yeux des autorités et les vilains te dénigrent. Tu n'a nul part où aller.

- J'aimerais être dans tes bras.

- Mais tu ne peux pas.

- J'aimerais sentir ta chaleur.

- Mais tu ne peux plus.

- J'aimerais vivre encore avec toi.

- Mais je suis morte.

- ...

- Je ne suis pas Hin, je ne suis que l'image mental que tu as d'elle.

- C'est faut !

- Arrête de te mentir ! Tu sais très bien que je n'existe plus ! Si je te voyais je te frapperai !

- Fait le !

- Argh ! Mais je suis morte !

- Ferme là, ferme là, ferme là !

- C'est bon t'es calmé ?

- ...

- Tu l'a dit toi même... Tu n'as pas de choix. Accepte la destiné qui c'est présenté devant toi. Une destiné où je ne suis plus là.

- Ça m'est impossible. Je suis sûr que tu est encore vivante ..! Peut-être...

- Mon véritable moi et ta mère serai déshonoré de voir à quel point tu es devenu si faible.

- ...

- Plus d'argument ?

- Je suis faible, c'est vrai. Je n'ai pas changé depuis le lycée, J'ai tué, beaucoup, j'ai attristé, j'ai apeuré, j'ai marqué l'histoire. En mal je le sais. Mais je ne peux que penser que je mérite mon état.

- Tu mérite d'être mort. Mais une certaine femme ne le voulais pas. Car elle croyait, et crois toujours en toi.

- ... Ouai.

- Donc maintenant, pour elle, pour moi, continue d'avancer, continue d'avancer et de te souvenir d'elle. Elle ne voudraient pas te voir te morfondre comme tu le fais.»

Les ténèbres se changèrent en un amas de lumière, dévoilant une forêt de bambou, avec au bout un maison typique du Japon, dans son jardin, Hin et Izuku ensembles observent leurs enfants jouer ensemble.

«- Il est temps que tu passe à autre chose Izu'. C'est un rêve irréaliste à présent.

- J'aimerais, pouvoir en profiter encore un peu, juste assez pour combler l'idiot que j'ai été.

- C'est ton rêve. Pas le mien.»

Après quelques minutes, Izuku détourne le regard, avec une larme.
Quand il rouvre les yeux il est en prison. Ses yeux son d'un vert foncé, la lueur de ses derniers n'étant toujours pas revenu, indiquant d'une dépression intense.

«- Enfin réveillé.

- Aizawa-Sensei.

- Ne m'appelle pas comme ça. Tu vas bientôt passer au tribunal pour connaître ta peine. On va essayer de-

- Pas la peine d'essayer. Je connais déjà le résultat. Tout me convient, de la prison, des travaux d'intérêt généraux, la peine de mort. Tout me convient. Je n'ai plus personne avec qui vivre de toute façon.

- Je vois... D'ailleurs, mes condoléances pour ta mère.

- Merci... Izuku éclaté en sanglots alors qu'il est attaché.»

Quelques jours plus tard, Izuku est parue devant le tribunal avec Aizawa pour bloquer son pouvoir qui ne demande pas forcément d'action motrices pour l'activer.

«- Aujourd'hui commence le procès de Midoriya Izuku, accusé de crime contre l'humanité et d'atteinte à la sécurité mondial. J'en appelle à la défense.

- Monsieur le juge, voyez vous mon client ici présent est à plaindre, car il a subit les tortures, de la maintenant déchu, League des vilains. Affectant son esprit et sa vision des choses.»

Izuku n'aimait pas que quelqu'un parle en son nom. Il lève la tête regarde les gens autour de lui et regarde le juge.

«- Votre honneur, mes choix m'ont menez ici. Je suis prêt à accepter n'importe quel sanctions. Je n'ai rien n'y personne qui m'attend en dehors de la cellule, plus maintenant... Ne soyez pas doux. Allez y avec tout, faite venir toute les lois qui peuvent m'inculpé. Je suis prêt. Je n'ai pas peur.»

La réaction de Izuku est quelque peu déconcertante, cependant le juré ne se concerte même pas et reste de marbre face aux discours de Izuku.

«- Puisque l'accusation admet sa faute et ne veux se défendre, je décide de procéder à la déclaration de la sentence lors de la prochaine séance, pour que se monstre puisse accéder à une dernière volonté, car contrairement à lui nous sommes civilisé et avons une équité. La séance est levée !»

Et Izuku fut renvoyer dans sa cellule en attendant la déclaration du jugement et sur la peine izuku.