Avant tout je tiens à préciser que cette histoire n'a absolument aucun sens alors laisser votre cerveau de côté.
Excusez les fautes d'orthographes !
C'est ma toute première histoire alors je vous demanderai d'être indulgent.
J'ai beaucoup d'inspira...
Le lendemain à 10h nous commencions à décorer une pièce du C.C.G. Celle-ci était condamnée alors on l'avait aménagée juste le temps d'aujourd'hui.
À 12h03 nous avions enfin terminé de tout préparer. C'était tout juste l'heure d'aller manger. Tout le monde était partit. Moi je n'avais pas très faim alors je resta dans la salle. Je m'étais assise sur une chaise et m'imaginais faire ma déclaration à Juzo. Je ne sais même pas pourquoi je pensais à ça, c'était peut-être un signe. Peut-être fallait-il que je lui avoue aujourd'hui ? Non je ne suis toujours pas prête à me faire rejeter. Je lui dirais quand l'occasion se présentera !
Il était 13h15 les autres venaient de revenir de leur pose. Je m'étais endormie et c'était Ginshi qui me réveilla. Il m'avait soufflé dessus. Je me m'étais bien évidemment levé en sursaut. Bizarrement quand je le vis devant moi je n'étais pas surprise, c'est sûr que venant de lui.. Je demanda l'heure on me répondît.
-bon il reste 15 minutes avant son arrivée.
Saiko râla, attendre 15 minutes c'est chiant je confirme. Du coup j'envoya un message à Juzo en lui demandant de venir plus tôt, donc maintenant. Il accepta et 5 minutes plus tard on vit la porte s'ouvrir assez brutalement. J'avais oublié que nôtre chère Juzo ne sait pas toquer aux portes et préfère les ouvrir comme un sauvage. On était dotant plus surpris que lui. Après quelques secondes de silence gênant on cria joyeux anniversaire. Il affichait un énorme sourire sur son visage. Il s'était fait un chignon, c'était beaucoup trop mignon ! Il souffla ensuite ses bougies. Saiko s'apprêtait à couper le gateau mais je l'arrêta.
-quoi ? -je vais prendre Juzo en photo avec le gateau !
Tout le monde soupira.
-rooh toi et tes photos.
Je fis un sourire gêné puis je donna le gateau à Juzo. Il fît un sourire.
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Il était juste adorable ! Je regardais la photo comme si il était mon enfant. Akira dit à l'oreille de Saiko « elle est vraiment amoureuse ». Elle l'avait dit un peu trop fort à mon goût. Je devais être rouge. Saiko dit :
-bon tu l'as prise ta photo, maintenant on peut le manger ce gateau ?! -oui. Lui répondis-je en souriant.
Après ça nous discutions. Juzo avait l'air de s'ennuyer. J'alla vers lui et lui demanda :
-Juzo, tu veux bien me suivre deux minutes ? -oui.
Je pris le testament que j'avais posé sur la table puis en sortant j'entendais des sifflements. Non mais sérieusement ils abusent ! J'emmena Juzo dans le bureau qui était vraiment en bordel d'ailleurs. Il s'était assis sur une chaise et je lui donna la lettre. Avec sa sucette en bouche il l'a lisait.
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Au début il n'avait pas l'air de comprendre pourquoi je lui donnais ça. Puis plus il lisait plus les larmes montaient. Il essayait de les retenir mais je voyais bien qu'il n'avait qu'une envie, s'effondrer. Le faire pleurer le jour de son anniversaire n'était finalement pas une si bonne idée mais avoir entre ses mains quelque chose qui a été écrite par la personne qui lui manque le plus lui ferait sûrement plaisir d'un autre côté. Il enleva sa sucette de sa bouche et la posa sur la table. Il se tenait correctement sur sa chaise, (je pense que c'est la première fois que je voyais bien assis d'ailleurs) puis il regarda le sol toujours le papier en mains. J'hésitais à parler.
-est-ce que... ça va ?
J'aurais finalement dû la fermer. Il se mit à pleurer. Je m'empressa d'aller lui faire un câlin. Il sentait vraiment bon. Bordel (t/p) c'est pas vraiment le moment de snifé les gens là ! À vrai dire je n'arrivais pas à savoir si il pleurait de joie, de tristesse ou même des deux en même temps.. Je me sentais coupable de ce que je lui avais dis, qu'il allait probablement mourir. Au finale je pense que non. Je ne sais pas vraiment si je le pense vraiment ou si je veux simplement me redonner espoir. Je lui dis :
-je suis sûre qu'il se réveillera.
Il s'était enfin arrêté de pleurer. Il m'enlaça à son tour. Je sentais sa chaleur corporelle sur moi. Je voulais que ça ne s'arrête jamais. On se regardait, puis je voyais ses yeux se fermer, il se rapprochait lentement de mon visage. J'étais comme paralysée. Il va vraiment m'embrasser ?!
