17.

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Eden: Mais . . .

Clark: Au travail, soldat. Elle ne bougera pas de là, je vous l'assure.

Il me regard en coin.

Clark: Sinon c'est avec moi qu'elle devra répondre de ses actes.

Louis: Bouuuh trop peur.

Je ris et lui secoue les cheveux. Le Lieutenant se raccroupie.

Clark: Quand il s'agit de se moquer de moi, y'a du monde bizarrement.

Il recommence à nettoyer les pieds de Louis et j'en profite pour me mettre simplement sur mes pieds.

Clark: Hep hep hep. Vous faites quoi là ? Vous, c'est assis. Non négociable.

Moi: Vous vous souvenez ce que ça veut dire cet astérisque à côté de mon grade, Lieutenant ?

Clark: Tout comme je me souviens que votre Sergent chef m'a très aimablement dit il y a un an que la hiérarchie ne fonctionne pas chez vous. Donc assis.

Je pince mes lèvres et me rassois.

Louis: Victime.

Moi: Tais toi.

Louis: Hé hé. Tu voulais faire quoi au juste?

Moi: Mon travail et aider ces gens entre autre chose.

Louis: Je savais pas que les morts ont un travail.

Clark: Je t'aime beaucoup Louis. Tu es très intelligent.

Les deux me regardent en jouant avec leurs sourcils.

Moi: Vous vous liguez, maintenant ?

Yul: Commandante Pears! J'ai des gens pour vous !

Moi: Des gens pour moi?

Il se décale de la porte et je me renfonce dans le canapé en voyant les gens à la porte.

Clark: Colonel Chabert. C'est... Une surprise de vous voir ici.

Louis: C'est qui Anaelle?

Moi: Des monsieurs qui doivent pas être très contents de mon travail.

Xavier: Tu crois?

Ils s'avancent en constatant les dégâts sur les gens pour finir par se poster devant moi.

Chabert: Repos, Lieutenant Clark. J'ai donc bien compris lorsque le Soldat Eden Jack m'a dit qu'une mort-vivante était parmis vous.

Clark: C'est... Hum compliqué.

Chabert: C'est ce que je vois.

Je lève les yeux au ciel.

Moi: As-tu fini?

Clark: Commandante.

Moi: Quoi? Vous vous souvenez de notre petit numéro pour vous cacher les véritables liens de mon unité ? Ils en sont l'exemple même.

Il nous regarde à tour de rôle sans comprendre. Xavier rit et tapote l'épaule du Lieutenant quelque peu surpris.

Xavier: Je suis un ami d'enfance. Et lui son oncle adoptif.

Clark: Hein?

Chabert: C'est vrai. Je suis l'oncle de la mort-vivante. Viens la jeune fille.

Je me lève et il me prend dans ses bras. Je devine qu'il allait toucher mon dos de ses mains mais je le sens s'arrêter. Il s'écarte et se penche sur le côté. Je tourne ma tête et comprend son interrogation. En effet, Louis s'est redressé sur ses genoux et tient écartées de mon dos les mains de mon oncle.

Unité 33 [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant