26. Épilogue

6.2K 247 84
                                    

PDV Naëlle :

J'avance entourée de mes compagnons. Mon coeur se réchauffe lorsque je vois Louis avec Charly qui a son bras sur ses épaules.

Esmée: Qu'est ce que tu leur as dit Xavier? Ils sont statufiés.

Louis: Na...Naëlle?

Il court vers moi et me soulève du sol. Il me serre fort contre lui. Je sens ses larmes dans mon cou.

Moi: Hé... Loulou.

Il relève sa tête. Ses joues sont toutes humides.

Louis: Tu es là.

Moi: Et en vie.

Je me penche légèrement pour voir Charly.

Moi: Quelqu'un dont je ne citerais pas le non m'a menacé.

Louis retire son regard de moi pour regarder les gens derrière moi.

Louis: Les marines. Bon retour chez vous, messieurs. C'est chouette la Corée à ce qu'il paraît.

Marine: Ils sont... Charmants.

Moi: N'ayez crainte, il vous charrie.

Charly se poste derrière moi à côté de Louis.

Moi: Marines, voici celui pour qui nous devions rentrer ce soir. Louis, mon fils.

Marine: Vous avez une sacrée mère.

Marine: Un sacré bout en train!

Marine: Et elle est sacrément atteinte. Vous devriez penser à la faire interner.

Clark: Qu'à t'elle fait cette fois? Pire que la dernière fois?

Marine: Nous ne savons pas ce que c'était la dernière fois, mais la nuit dernière, elle a passé un marché avec un soldat coréen pour se faire arrêter.

Moi: Nous finissons toujours nos missions.

Clark: Attendez une minute. Xavier a dit que tu étais en cellule, Paul, et que tes apprentis sont traumatisés.

Paul: Ils sont partis dans notre avion alors que nous allions en entraînement. Notre pilote a été remplacé par un imposteur. Naëlle l'a compris mais je n'ai pas pu faire quoi que ce soit vu qu'il était de mèche avec le copilote. A l'atterrissage, nous avons eu un comité d'accueil de soldat coréen. Peu de temps après, ils ont jetté trois personnes menottées dans notre cellule. Masqués et avec des capuches. Dont une est une pickpocket au passage. D'ailleurs, je crois que vous avez besoin de discuter tous les deux. Allé tout le monde ! Entrez!

Il pousse tout le monde à l'intérieur et nous dehors avant de fermer la porte.

Je suis bouche bée. Charly à ses mains sur ma taille m'ayant empêché de tomber lorsque l'autre crétin nous a poussé.

Moi: Incroyable. Je sauve sa petite vie et il me met à la porte.

Je me retourne pour être face au regard de Charly. Je détourne le mien, mal à l'aise.

Moi: Pourriez vous arrêter de me regarder ainsi ? Ça me met mal à l'aise.

Il tourne ma tête vers lui du bout des doigts.

Clark: Il va falloir t'habituer.

Il se rapproche et vient coller nos fronts.

Clark: Tout à l'heure, ce crétin nous a fait peur. On a cru que tu étais à l'hôpital.

Moi: J'y suis allée enfaite.

Clark: Je me doute.

Il caresse ma joue.

Unité 33 [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant