Him and I [Sasusaku]

chapitre 4

La personnes la plus dûr a aimé,c'est vous même

Sortant du batiment, je me depecha de commandé un autre Taxi.

À ce train là je vais finir fauché.

Mais regardez moi cette radine.

Je souffla sur mes mains gelés par le froid afin de leur donner ne serait-ce qu'un peut de chaleur.

Après ma tentative en vain de me réchauffer, j'apperçu mon Taxi arriver.

Je m'empressa d'y monter, refermant rapidement la porte derrière moi afin de profiter de la chaleur de l'interrieur du véhicule.

Après avoir offert de simples formules de politesse au chauffeur, je sortis mon portable de mon sac, cherchant le contact de Ino.

J'appuya sur le boutton, et passienta calement que la blonde me reponde.

Après quelques sonneries, mon amie decrocha enfin à mon appelle, et je ne pu à peine sortir un son de ma bouche qu'elle me bombarda de questions :

____ Calme toi , je ne comprends rien à ce que tu racontes. Dis_je d'une voix aussi calme qu'exasperé.

____ Je suis parfaitement calme. Me repondit-elle d'une voix qui n'a absolument rien de calme.

____ Mais bien sûr ! Je te crois sur parole !me moquais_je

____ Bref, ce n'est pas ça qui nous importe. Je t'attends chez moi avec les filles, on veut un compte rendu detaillé de tout ce qu'on a raté. Me suis-je bien faites comprendre, miss Haruno ?

Je ris face à son comportement si enfantin et pourtant si mignon.

Comme quoi, on devient jamais vraiment adultes.

On est tout des grand enfants c'est tout.

____Message reçu, je serai chez toi dans à peut près 5 minutes, prepare le pop-corn, j'ai pas pu en profité tout à l'heur.

La bouffe en priorité.

Je reflichissais calmement au derniers evenements.

On venait de s'embrasser après tout.

Et pour moi, ce geste voulait dire quelque chose.

Maintenant, reste plus qu'à trouver la signification de ce quelque chose.

On a eu peu d'interections, et pourtant cela à suffit à nous laissant le temps de nous mépriser.

La première chose qui me venait à l'esprit en pensant à lui était l'irritation.

Et l'attirance.

Je n'avouverai jamais cette partie que j'enfuis bien profondement sous mes couches de colère.

Mais j'en était consciente, ce baisé ne valait pas grand chose.

Disons qu'on était tout les deux submerger par des sentiments de haine trop forte pour nous.

Qu'on avait un filtre rouge sur les yeux.

Et qu'on mal interpretait ce rouge de rage en rouge d'amour.

Enfin, " amour" .

C'était surtout du au manque.

Je crève de recevoir l'amour de autres.

Pour ce qui est de lui, peut_être est-ce du à un manque sexe, qu'en savais-je ?

Je me perdis tellement dans mes pensées que je ne remaqua pas que le chauffeur s'était arrêté.