Je me rappelle nos rêves morts
Aux pieds des astres dans cette brume
Tu m'as envoûtée avec tes sorts
Sur mes joues... Cette invisible écumeTu avais le cœur en échiquier
Un peu noir un peu blanc et sans gris
Sentiments voyageurs sans sentier
Tes louanges soudain furent des crisTu t'es laissé guider par le fou
Laissant notre ciel s'émietter
Je te l'ai demandé à genoux
Contente-toi d'être cavalierJ'ai été banie dans cette tour
Au milieu de ton monde sans sens
Tu as embouteillé notre amour
Dans la sombre mer de ta démenceJ'ai fini par dessiner le point
Qui achevait cette tragédie
En t'embrassant pour une belle fin
Tu devins roi de la partie
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Jeter l'encre
PoetryP longer dans le vague à l'âme O xyder la serrure de ton cœur E teindre la lune en flammes M êler le pourpre à la peur E stomper l'écume du drame S irotter les pleurs... ... De ce cocktail d'amertume. Des poèmes, de la prose, des lettres et d...