Je me suis noyée, dans l'errance d'un vers.
L'absinthe m'a submergée.D'absence
Et je marche de travers.
La robe sombre de la liqueur libre
s'exprime.
En incohérence
En échos d' erranceLa raison s'opprime
Dans la décadence
dans la délivrance
qui déprimeLes meubles sont bancales et se diluent
Au milieu des larmes à la dérive
Cette pluie superflue.Cette pluie super-fluide.
Comme Alice, j'aurais encore besoin d'une bouteille à l'amère. Un mortel délice...
Mon corps est happé par la nuit
Il pleut sous la mer...Tout est confondu, le feu glisse, fondu, délicatement, avec l'écume relevée d'un ... pétillement... Dans le regard...
La beauté coule
Sur mes lèvres
Il se fait tard...
Je suis saoule
De cette nuit brève
Elle se consume
EstompéeSur le bitume
En plein rêve
TUÉEPar la mélodie de l'été...
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Jeter l'encre
PuisiP longer dans le vague à l'âme O xyder la serrure de ton cœur E teindre la lune en flammes M êler le pourpre à la peur E stomper l'écume du drame S irotter les pleurs... ... De ce cocktail d'amertume. Des poèmes, de la prose, des lettres et d...