Quel est ton nom ? [Levi x reader]

Chapitre 2: Les retrouvailles

J'étais déconcertée... je ne savais quoi répondre face à ça. On le voyait bien, ma tête avait changé d'expression.

- Alors ?

- "umm je n'en connais pas..." devrai-je citer le nom de Livaï ? Ou ferai-je mieux de me taire ? Je ne l'ai pas vue depuis un moment...comment il pourrait réagir si il me voyait après tout ce temps ?

- "Tu m'écoute quand je te parles ?"
Je réfléchissais tellement que je n'ai pas écouter un mot.

- "um- pouvez-vous répéter ?"

- "Je disais que si une quelconque personne te revenait à l'esprit tu devais venir me voir."

- "D- d'accord, ne vous inquiétez point."
Dis-je en essayant de me rattraper.

Je me leva et commençait à avancer vers la porte sous le regard de toute les personnes présente dans le pièce. Mais je me suis demandé: pourquoi me demande-t-il quelqu'un des Bas-Fonds ?

Je me retourna vers lui. Ils furent tous une tête plutôt marrante et très surprise. Mais je voulais savoir...

- "Pourquoi vous me demandez quelqu'un des Bas-Fonds ? Il y a de très bon jeune recrue. Je me trompe ?"

J'avoue mentir un peu quand je dis qu'ils sont bon.
Il ne savait pas quoi dire.

- "Nous savons très bien que les recru ne sont pas si "bon" que ça."

- "Et donc ?"

- "J'ai besoin de personne comme toi qui ont de bonne base et qui connaissent l'utilisation de l'équipement tridimensionnel avant de venir ici."

Comment sait-il que je connaissais l'équipement tridimensionnel ? J'ai essayé de faire en sorte de dissimuler cela.

- "D'ailleurs, qui te l'as appris ?" Dit-il

- "Qu- quoi ? De quoi vous parlez ?"

- "Tu savais utiliser l'équipement à ton arrivée..."

Merde

- "qui te l'as appris ?"

Double merde

- "j- je ne le connaissais pas. J'ai simplement appris rapidement !"

- "Je sais que tu mens. Si tu ne veux pas me le dire tout de suite ce n'est pas grave."

Ouf

- "On le découvrira de toute manière."

Qu- quoi ?

- "b- bien, je vais y aller maintenant."

Je tournai les talons une deuxième fois pour sortir définitivement et espérer ne plus jamais y retourner."

Je courus jusqu'au dortoir. Malheureusement je partageais ma chambre donc me réfugier en cachette risquait d'être compliqué. Tant pis vu où j'en suis.