La vraie famille

Chapitre 6: Je n'ai pas d'idée de titre :'D

Pour commencer, j'aimerai m'excuser pour le temps d'attente avant la publication de ce chapitre, pour une raison inconnu j'ai eut beaucoup de difficulté à mon connecter à mon compte Gmail et j'utilise Drive pour mes histoires :') J'ai flipper ma vie, mais voilà j'ai de nouveau mon gmail et je peux enfin publier le prochain chapitre hihi. 

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PDV: DEREK

Cela fait cinq bonne minutes que j'essaye de me convaincre que j'ai une bonne raison de rester dans le stationnement de l'établissement scolaire, bien que j'essaie surtout de me faire croire que ce n'est pas parce que je sais qu'Il revient aujourd'hui. Ce n'est pas non plus parce que je m'inquiète de son état, ni parce que ma partie lycaon s'impatiente de le revoir, même de loin. Encore moins parce que pour la première fois depuis mon adolescence j'ai l'impression de ne plus être complètement en harmonie avec mon loup, il n'est pas soudainement doué d'une pensée propre et je ne suis PAS celui qui se soumet à ces désirs.

Mon estomac se serre lorsque je vois la voiture de police arriver dans le stationnement et je sors de la voiture afin que l'intérieur de l'habitacle ne biaise pas les informations que m'enverrait l'odeur de Stiles... Je le répète, ce n'est pas parce que je savais qu'il serait là que je suis resté à attendre! Je soupire, appuyant mes hanches sur la portière de la voiture, qui est-ce que j'essaye de convaincre de cette façon? Je croise mes bras et patiente jusqu'à l'arrêt total de la voiture de police.

Je me sens étrangement euphorique dès que je le vois descendre de la voiture, c'est comme si le loup en moi remuait de la queue, je le/me trouve pathétique et je ne le comprends pas. Je perd le souffle lorsque ses yeux trouvent les miens et je ne le reprend qu'après avoir réalisé l'inimaginable, j'ai perdu le contrôle et mon loup a fait surface pendant un court, mais dangereux moment, faisant luire mes yeux au rouge.

Je décide de battre en retraite et retourner dans ma camaro, mais alors que je me décollais les hanches de la portière, une bourrasque de vent m'apporte l'odeur de Stiles et mes griffes sortent s'enfonçant dans la chair de mes bras, passant au travers la solide barrière de ma veste de cuire, j'ai juste assez de temps pour me reprendre afin que mes yeux de luisent pas de nouveau sous la colère. Scott était dans le vrai lorsqu'il avait dit qu'il guérissait probablement parce qu'il ne se faisait plus battre après avoir subi une blessure qui l'avait presque tué, mais il avait omis de me préciser à quel point sa blessure était répandu sur une très grande partie de son dos et ses côtes, comme s'il s'était recroquevillé sur lui-même alors qu'on lui avait donné des coups de pieds à répétitions.

Je dois vraiment user de toute ma rationalité pour ne pas quitter cette voiture, les rejoindre, agripper Stiles et le ramener de force avec moi pour le garder dans une bulle protectrice dans laquelle rien ni personne ne pourrait l'atteindre... En fait, c'est exactement ce que j'étais sur le point de faire, je n'arrive pas à y croire moi-même et je me fais peur, mais si ce n'était pas de son regard qui dévia du mien pour observer son demi-frère qui venait de porter son bras à ses épaules, j'aurai sans aucun doute dépassé les limites et commit un enlèvement devant témoins.

Je me concentrais sur ce que lui disait l'adolescent pour ne pas porter mon attention sur ce soudain vent de possessivité qui me prenait au ventre en les voyant aussi proches. J'ai cette conviction irrationnelle qu'il m'appartient et ce mec tente de se l'approprier à lui seul. Je lance cette pensée au loin dans mon cerveau alors que mon regard se porte vers Scott, si à cette distance j'ai pu entendre son frère lui ordonner d'annuler toutes séances d'aide aux devoirs alors, lui aussi devait l'avoir entendu. Je sais que j'avais raison lorsque je remarquais que son attention était déjà sur eux.