Katsuki x reader || "Love Me Forever" ||

Chapitre 22

Précédemment :

Moi : « Oh non, pas toi... »

PDV (T/p) :

Tout, sauf lui, maudit soit-il...

Hawk : « Comment ça va depuis la dernière fois ? »

Moi : « Mieux quand tu n'es pas là. »

Hawk : « Touché... » il feint d'avoir été touché par une flèche

Moi : « Depuis que tu m'as embrassé sans mon consentement, j'ai dû faire face à des problèmes difficiles. Actuellement, j'ai juste envie de te plumer. »

Hawk : « Quand tu étais petite, tu disais "Quand je serai grande, tu seras mon deuxième petit ami !". D'ailleurs, le "deuxième petit ami" fait toujours aussi mal... » il se met à pleurer de manière théâtrale

Moi : « NON, NE ME RAPPELLE PAS CE SOUVENIR ! » je rougis de honte

Hawk : « Et puis, tu ne m'as jamais dit qui c'était ! »

Moi : « Ça ne te regarde pas, pigeon. »

Hawk : « Alllllerrrr, tu peux tout me dire, non ? »

Moi : « C'est...le blond que tu as vu la dernière fois...» je souffle et rougis

Hawk : « Lui ? Non, mais je te dis que tu as plus de chances de finir avec moi qu'avec lui- »

Moi : « Je suis déjà avec lui. »

Hawk : «...» son visage est choqué, comme une reine du drame

Moi : « Bon, j'y vais et ne t'avise pas de me suivre.»

Alors que je cheminais, je perçus une présence menaçante qui me suivait de près. Soudain, une main robuste me saisit le bras tandis qu'une autre me bâillonnait. Mon premier réflexe fut d'utiliser mon alter, mais l'individu me relâcha avant que j'aie pu réagir.

Je me retournai brusquement pour affronter mon agresseur. C'était le sinistre Crématorium, alias Dabi, qui me faisait face. D'un regard chargé de méfiance, je lui demandai ce qu'il me voulait.

Il me répondit d'un ton narquois : « Tu ne me reconnais pas ? »

Je secouai la tête, perplexe. Il insista : « Le nom de Toya ne te dit rien ? »

Je compris aussitôt.

« Non, ne me dis pas que c'est toi ?! » m'écriai-je.

Il me confirma mon intuition et ajouta : « Mais je ne suis pas venu pour cela. Je suis là pour te dire au revoir. »

Je ne comprenais rien à ce qu'il racontait. Il me parla d'une horloge que j'étais censée entendre, mais je n'avais pas la moindre idée de ce qu'il voulait dire.

Je m'apprêtais à le presser pour en savoir plus, mais il me prit dans ses bras avant que je ne puisse dire un mot. Je fus surprise de constater que ses mains étaient chaudes, probablement à cause de son alter, et que son parfum était agréable.

« Merci de m'avoir aidé ce jour-là. À bientôt », murmura-t-il.

Et sans un mot de plus, il disparut subitement dans un portail qui s'ouvrit devant lui, le même que celui que j'avais déjà vu au SCA.

Je me retrouvai seule, plantée là, dans une ruelle obscure. Je retournai chez moi, toujours en proie à une grande confusion.

Je me demandai alors comment j'avais pu aider Toya, quand et où cela s'était produit. Mais aucun souvenir ne me revint à l'esprit. L'horloge qu'il m'avait mentionnée demeurait un mystère insondable.