Les dessins numériques sont entièrement réalisés de mes propres mains, comme la couverture de l'histoire. Certains chapitres seront également illustrés. Je vous prie donc de ne pas voler mes dessins, car cela me prend énormément de temps. Si vous so...
⚠️ ne volez pas mes illustrations digitaux, si vous voulez utiliser mes dessins vous devez me mentionner ⚠️
Précédemment :
Le blond a alors exigé : « Toi ! Quel est ton nom !? Ta tronche me rappelle quelqu'un, mais je ne me souviens plus et ça m'énerve ! »
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PDV Katsuki :
Plus je la fixe, plus mes nerfs sont à vif. Son regard change. Elle attrape mon haut et me tire vers elle. Je ne peux détourner mon regard de ses yeux. C'est probablement la première personne qui m'a défié du regard.
La jeune femme demande, avec un regard sombre: "Parle mieux et qui t'a donné la permission de me plaquer ?"
Je demande, confus : "Ha?"
Elle répond: "Ts! Pauvre type!" avant de lâcher mon haut comme un sac poubelle. J'étais abasourdi. Je sens ma tension augmenter.
Je l'attrape par son col de chemise et je la plaque de nouveau.
Elle se débat dans tous les sens: "LÂCHE MOI ESPÈCE DE TARÉ !"
Je lui réponds, enragé : "MOI TARÉ ?! TU VEUX QUE JE TE REFASSE LE PORTRAIT ?!"
La jeune femme continue de se débattre : "MAIS BORDEL, LAISSE-MOI TRANQUILLE !"
Je répète, furieux : "RÉPONDS À MA QUESTION !"
Elle répond, avec colère: "TU SAIS OÙ TU PEUX TE METTRE TA QUESTION !?"
Je commence à ressentir des envies de meurtre. C'est la deuxième personne, après Deku, que j'ai envie de tuer.
PVD (T/p) :
Je vois l'autre main de mon agresseur bouger. Il ouvre sa main et des petites étincelles commencent à apparaître sur sa paume.
Je suis dans de beaux draps. Hahaha, un alter d'explosion, je vais mourir.
PVD katsuki :
Je vois l'expression de son visage changer. De toute façon, les menaces fonctionnent toujours avec moi.
Je lui dis, en hurlant: "ON FERME BIEN SA GUEULE MAINTENANT HEIN !? DIS-MOI TON PUTAIN DE PRÉNOM-"
Une voix interrompt notre échange.
Une personne crie le prénom de mon agresseur au loin.
Je murmure près de son oreille: "Tch. De toute façon, on se reverra. T'as de la chance, connasse."
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