Enfant de Timpelbach : Amour impossible

Déménagement dangeureux

Je regardais Arianne tandis qu'elle respirait assez fort. Ça a dû beaucoup lui coûter de me sauver, étant donné qu'elle est blesser. Pourquoi elle lui fait peur ? Pourquoi elle fait peur à mon beau-père ? Comment ?

Arianne : Bon faut aller porter plainte maintenant.
Moi : On peut pas, la justice est corrompu a Timpelbach.
Arianne : On s'en fout, on va aller ailleurs. Je vais pas te laisser crever sous les coups de ce type.
Moi : Je peux pas, ma mère est avec lui et je veux pas que son stupide bonheur s'arrête à cause de moi.
Arianne : Le redoutable Willy Hak a peur que sa mère lui en veuille ? Écoutes moi pour une fois. Au pire tu te barres d'ici et tu vas vivre au Lion d'Or. Le bar est abandonné depuis longtemps Willy.
Moi : Toujours aussi intelligente Arianne.

Elle rougit légèrement à ma remarque . J'ai vraiment fais l'idiot en disant ce que j'ai dis.

PDV ??

J'étais enfin rentré chez moi, dans ma chambre, après que l'autre Pirate m'a annoncé que sa cousine a eu un léger problème. Elle est devenue une Pirate et lui il est partit de ce clan.

Franchement j'y crois pas. Arianne, c'est pas son genre de faire ça.

Tient c'est allumé chez Willy.
Je pris mes jumelles et commença à observer la chambre de Willy. Ouais je suis curieuse mais c'est pour la bonne cause, je sais très bien que Willy cache quelque chose et je compte bien découvrir quoi.

Qu'est-ce que... MAIS C'EST ARIANNE ?? Mais c'est quoi ce bordel, pourquoi elle est chez lui ???
Je regardais encore à la fenêtre quand mon petit frère arriva dans ma chambre.

? : MARIIIANNNE
Moi : Oui ptit Louis ?
Louis : Tu viens manger ???
Moi : Attends 5 minutes je regarde un truc chez Willy. C'est un truc important.

Il descendit prévenir les parents et je continua de regarder avec mes jumelles.
MAIS ILS S'EMBRASSENT ???!!!
Je comprends maintenant pourquoi Arianne a rejoint les Pirates !! Elle va m'entendre demain !

PDV Arianne

Willy m'embrassa.
Wow ça fait toujours aussi bizarre. Il commença à prendre toutes ses affaires importantes et me regarda.

Willy : On y va ?
Moi : Je dois chercher des affaires chez moi mais avec mon père ça va être compliqué...
Willy : Y a bien du lierre en dessous de ta fenêtre, non ?
Moi : Ouais . Mais mon père me verra forcément. Ma chambre est en dessous du salon et il y passe toutes ses journées et toutes ses nuits.
Willy : Je t'aiderais, comme tu l'as fais avec moi .
Moi : C'est trop dangereux Willy !!
Willy : Je m'en fous. C'était tout aussi dangereux de m'aider alors je te dois bien ça .
Moi : D'accord mais soit prudent... Mon père est dangereux.
Willy : Je sais, tout autant que mon beau-père.

Il prit une valise caché sous son lit et mit toutes ses affaires dedans.

Willy : On y va ?
Moi : Oui, on y va.

J'étais impatiente de partir d'ici et de vivre enfin tranquillement.

On sortit de chez Willy le plus discrètement possible, de peur que le maire soit encore ici. Apparemment personne n'est là donc on sortit de la maison .

Je me dirigea, sans attendre Willy, vers ma maison. Je dois aller récupérer mes affaires à tout prix sans que mon père ne me voit.
Willy courait derrière moi mais je ne ralentis pas le pas pour autant.

Willy : EH ATTENDS MOI !
Moi : Je peux marcher donc non. Tant que je marcherais mon père ne m'aura jamais.

Willy courait toujours derrière moi quand j'arriva chez moi. Tout était éteint ce qui est bizarre car normalement mon père ne dort presque pas de la nuit...
Tant mieux, au moins je pourrais tout reprendre.

Moi : Mon père doit dormir. Maintenant va falloir se taire, ok ?

Il hocha la tête positivement et je me dirigea avec lui vers la fenêtre de ma chambre.
C'est partit pour l'escalade du doute.

Willy coucha sa valise et je m'appuya dessus pour attraper le lierre.

Une fois le lierre attrapé, je commençais à escalader le mur jusqu'à ma fenêtre.

Je souleva la fenêtre avec une de mes mains et heureusement elle était ouverte .

Je pénétra doucement et discrètement dans ma chambre et chercha un sac. J'en trouva un et je commença à prendre toutes mes affaires, tout mes habits et tout mes bibelots. Comme Willy en fait.

Une fois toutes mes affaires prêtes, je les jeta par la fenêtre et Willy les rattrapa.

Alors que je descendais, accroché au lierre, j'entendis la porte s'ouvrir violement.

Oh nan... MON PÈRE EST RÉVEILLÉ !!!!