Bataille finale et refus

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Moi : Attends Willy... Je crois que j'ai encore des sentiments pour toi et même si je te déteste encore un peu je -
Willy : Calme toi un peu. Tu parles trop vite.

PDV Willy

Elle peut pas comprendre. On peut pas être ensemble. Même si elle fait partit des Écorchés elle est et sera toujours liée à Marianne et les Timpelbachiens.

Arianne : Mais...
Moi : On ne peut pas être ensemble. Je t'aime pas. Désolé. J'y vais

Je sortis de la chambre sans la regarder, je ne veux pas la voir triste encore plus qu'elle ne l'ai déjà.

Marianne : Alors ?

Ah oui je l'avais presque oubliée celle-là.

Moi : Je lui ai expliqué comme j'ai pu. J'y vais avant qu'Oscar s'inquiète. Et surtout car je ne devrais pas être là.
Marianne : Ouais.

Je descendis les escaliers et je sortis dehors pour rejoindre le repaire.

Au repaire ( Lion d'Or ) :
Oscar m'a pas posé de question, il était trop occupé à préparé les troupes je ne sais où.
Comment je vais dire ça à Arianne quand elle va savoir ce qu'il s'est passé ?
Ouais bof elle saura rien tant que ça sera pas finit. Cette bataille finale va être décisive... et pour bientôt.
Erna vint me voir.

Erna : Alors, on a été voir sa belle ?
Moi : Ouais. Bon tu devrais t'activer au lieu de me poser des questions.
Erna : Ouais, vivement qu'on se batte !
Moi : Vivement qu'on gagne et qu'on dirige ce village surtout. Où est Oscar ?
Erna : A l'étage avec Jean et les jumeaux.
Moi : Ok.

Je ne dis rien de plus et monta les escaliers. J'entra dans la chambre d'Oscar sans frapper. J'ai pas besoin de faire ça, c'est mon meilleur ami après tout. Jean et les jumeaux me regardaient.

Oscar : Alors ? Y a quoi ?
Moi : J'ai été la voir c'est bon. Demain matin on fait la bataille ?
Oscar : Ouais.

Je posais des questions sans réellement les posés. Oscar disait toujours oui à tout alors j'ai pas de problème de ce côté là.

Moi : Dans ce cas on a intérêt à se grouiller. T'as fait réparé l'espèce de moto ?
Oscar : Jean s'en ai donné à cœur joie, pas vrai ?
Jean : Oui effectivement.

Ce mec essaie de répondre comme moi ou je rêve ? Enfin il essaie plutôt de m'imiter. Il a le don de me taper sur le système c'est dingue ça !
Je ne laissa rien paraître malgré mon énervement.

Moi : Dans ce cas je vais aller finir certaines choses et aller dormir. A demain Oscar.

Le lendemain matin :

Nous étions fin près. Les Timpelbachiens étaient très certainement au courant.

Quelques heures avant

PDV Thomas :

Je venais de voir ce Serpent de Willy partir de chez Marianne. C'est extrêmement bizarre. Après peut-être qu'elle l'a amené voir Arianne mais je doute que Marianne est fait ça.

Je suivis Willy jusqu'au repaire de sa bande. Il a pas dit un mot pendant le trajet.

Je me cacha derrière une fenêtre mais rien de nouveau à part qu'effectivement il avait été voir Arianne. BORDEL IL MONTE A L'ÉTAGE !

Je décida de grimper jusqu'à une fenêtre, la chambre d'Oscar sûrement vu la voix qui résonne.

La bataille finale est pour demain matin ?!

Je descendis doucement de la fenêtre et courut chez Marianne. Elle doit savoir ça !

Présent

PDV Oscar :

Ça y est tout ces minables sont fichus ! Impossible qu'on se fasse battre. En plus Willy m'a fournit une belle surprise ce matin, le fusil de son père. Comme ça si la situation ne va pas dans notre sens, on aura juste à tirer !

On venait d'arriver à la place principale en moto. Les Timpelbachiens sont là ?! C'est quoi ce binz ? Je parle pas de Charles, je parle de ce bordel ! De où ils sont là ?! Mais... Arianne ???

Pdv Arianne

On m'avait annoncé qu'il y aurait une bataille donc j'allais y aller. Mais pas du côté des Écorchés, non . Du côté de mes amis, les Timpelbachiens. Vu la tête d'Oscar et de Willy ça a pas l'air de leur plaire. Tant mieux !

Moi : Bah alors, c'est quoi ces têtes ? Étonnés de me voir ?! Tu m'as cru incapable de me relever Willy ?

Les enfants se mirent à chuchoter.

Moi : Mon pauvre Willy, tu as cru que j'allais vous aider ? J'ai accepté d'être avec vous uniquement pour sauver Barnabé mais maintenant qu'il ne craint plus rien, je n'ai rien à faire avec vous.
Oscar : Vous avez 10 secondes pour dégager

Ils (les Écorchés) se mirent à compter jusqu'à 10 mais on ne bougea pas. Nous, les Timpelbachiens, on ne va pas laisser le village entre les mains de ces enfoirés de première !

Marianne : Vous êtes prêt ?!
Oscar : CHARGÉS !!!

Pdv Oscar :

10 minutes. 10 minutes qu'on combattait mais ma bande commence à perdre. On est foutu. En plus les Timpelbachiens ont une arme secrète, une voiture qui lance des patates.

Je me mis à l'écart et Willy arriva a côté de moi.
Sauf que je crois qu'on avait pas prévu un truc, Arianne arrivait vers nous, avec une rage surhumaine. Elle venait de battre une ribambelle d'enfants avant.

Arianne : Vous êtes morts !!!

Elle se jeta sur Willy et il tomba à terre à peine elle lui donna un coup de poing
Je voulais le protéger mais elle m'envoya voler aussi. Wow elle a de la force.

A un moment, le fusil de Willy tomba par terre et pas n'importe où, juste devant mon nez. Ça va être l'occasion de sortir notre arme secrète !

Je le prit entre mes deux mains et me leva.
Il faut que je vise la voiture. Uniquement la voiture.

Je visa et tira. La balle partit, les enfants arrêtèrent de se battre et je tomba à terre, Thomas m'ayant poussé mais pas à temps, ça a juste dévié la balle. Malheureusement...

La balle à atteint ptit Louis
... Je... non...

Enfant de Timpelbach : Amour impossibleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant