Rouge-Espoir (Zosan)

Chapitre 32

Voila enfin mon chapitre ! Désolé du retard ^^' 
Pour l'image, après un Zoro stylé, c'est un Sanji stylé, ewi, il faut bien équilibré les choses, même si ce chapitre est du point de vu de Zoro ^^ Cette oeuvre a été réalisé par @nori31291404 !


Bonne lecture ! 

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Je marchais rapidement dans les couloirs, je ne fuyait pas... enfin, j'essayait de m'en convaincre, tout en ignorant les quelques domestiques que je croisais, qui me faisaient de polie révérence pour me saluer. Pourquoi il y en avait déjà ? hum, peut importe.

Une fois dans ma chambre, je fermais la porte, en appuyant mon dos dessus, et d'une main j'enclenchait le verrou. Moi qui ne fermais jamais d'habitude, mais je n'avait pas envie que l'on me voie comme ça. Je passais une main sur mon visage, tout en me regardant dans l'image que me renvoyait le reflet de ma fenêtre, pourquoi mes joues étaient elle si rouge ? C'était encore a cause de lui... il me faisait faire des trucs étrange... mais quelle idée de me....hum... touché de partout ? Ok je ressemblais a une chauve souris... mais quand même... il m'avais... aaaaa et pourquoi ce coeur n'arrêtais pas de battre aussi vite !? Pendant ma transformation j'avais entendu le siens... c'était un son agréable en profité un peu plus longtemps aurais été appréciable, mais heureusement pour moi, cet état animal n'était effectif que pendant cinq minutes. D'ailleurs il faudra que je parle a Azura... depuis quand avait elle ce sifflet ? Enfin... concentrons nous sur mon problèmes actuel. Le sentiment que j'avais.

En soupirant un bon coup, détendant mes muscles, je réussis a prendre à nouveau un rythme cardiaque normale, j'avais chassé tout ça, tout ce qui m'embrouillait. Mon entrainement pour me controlé m'avais servit. Mais peut être faudrait il que j'arrête de laissé cette question en suspens. Pourquoi est ce qu'il arrivait a me faire tourné la tête ?

La situation n'avais pas changé depuis que j'en avait parlé à Kuina. Je pensais pourtant avoir réussi a extériorisé pas mal de chose, mais ce n'était visiblement pas suffisant. Avec un léger grognement, je me mit a faire les cents pas dans la pièce, il fallait que je mette ça au claire, pour régler la situation, je n'appréciait pas laissé quelque chose sans réponse, surtout quand cela me concernait d'aussi prêt. Et maintenant ça avait même atteint un stade critique, j'avais besoin de son sang, alors pourquoi est ce que je n'en prenait pas, ou trop peu ? Par ce qu'il ne voulais pas ? Sérieusement... tch... bon, je pouvais encore me retenir un petit moment, j'avait eu l'habitude de me restreindre. Donc soucis suivant, plus je le côtoyait, plus **ça** s'amplifiait, cette chose qui était apparu dans mon coeur, qui me faisait frémir, j'avais l'impression que mon coeur se réchauffait. C'était ridicule... il me rendais faible.

Je ne sais pas exactement pourquoi, mais a cet instant, je repensais a cette lettre, mon regard dériva sur le tiroir qui la contenait, et après encore quelque seconde d'hésitation, je me dirigeais vers celui ci, l'ouvrant pour reprendre délicatement le papier qu'il contenait. Cela faisait longtemps que je ne l'avais pas lu, je n'avait oublié aucun des mots qui y avait été inscrit, mais par réflexe, je la relu encore une fois. Sentant mon humeur s'assombrir au fil des phrases, si seulement on avait eu plus de temps a l'époque.

Et puis, soudain, je m'arrêtais à un endroit bien précis, sentant un frisson descendre le long de ma colonne vertébrale. Quand elle décrivait...ce qu'elle ressentait pour moi. C'était plutôt abstrait, franchement illogique, étrange...mais...ces sensations... a l'époque je ne les avait pas comprise.... Mais définitivement...c'était...exactement, ce qu'il se passait chez moi... avec ce cuistot.

Aussitôt que j'eu pensé cela, un étrange malaise s'empara de moi, alors que mon coeur se serrait, étouffant la chaleur qui était soudain apparu au creux de mon ventre. C'était impossible... pourtant... je...bon...j'allais essayé de le pensé... j'était...a...amoureux de....lui ?