Chapitre 8

697 48 185
                                    

Prochain chapiiiitre !

comment ça je suis en retard sur ce que j'avais dit ? C'est faux '^' il est pas encore minuit XD

Comme promis, celui ci est du point de vue de Zoro ! Et cela explique l'image de ce chapitre 

/magnifique transition je sais/ en ce qui la concerne... plusieurs question, 

est ce que Zoro porte autre chose que des bandes blanche sur le corps ? La réponse est non. 

Ou, quand, comment, pourquoi ? J'en sais rien mais c'est probablement la faute de Sanji...

Est il incroyablement stylé ? ABSOLUMENT. 

je n'ai malheureusement pas réussit a retrouvé l'auteur original de cet oeuvre, elle a été reprise trop de fois pour que j'arrive a déterminé précisément qui l'avais faites, donc j'ai préféré ne rien mettre plutôt que de crédité la mauvaise personne ^^

Enfin bref, je vous laisse avec le chapitre !

Bonne lecture ;3

________________________________________________________________________________

Je sortis de la chambre, une rage sourde brûlant toujours en moi, une aura menaçante émanait de mon corps, comme une seconde peau, tandis que la lueur de la lune projetait mon ombre sur les murs des couloirs, que je traversais rapidement. Ils avaient osé... Ils avaient osé toucher à MON cuisinier... impardonnable... et dire que j'avais failli arriver trop tard... et si j'étais arrivé trop tard ? Le simple fait d'imaginer leurs salles patte sur SA peau, sur SON corps, me donnait envie de tout cassé sur mon passage. Oh ça... j'allais m'arranger pour le leur faire regretter. Personne à part moi n'avait le pouvoir de le toucher. C'était comme ça, il m'appartenait.

À vrai dire, en y réfléchissant un peu plus, je ne comprenais même pas ma réaction... pourquoi mon cœur avait loupé un battement en entrant dans la pièce ? C'était juste un garde mangé... je finirais bien par le tuer de toute manière... et étrangement, cette idée me révulsa. Quoi ? J'étais devenu si faible que prendre une vie me repoussait ? Absolument pas... car je savais exactement que je n'aurais aucune pitié à massacrer les deux idiots de tout à l'heure. Alors quoi ? C'était seulement pour lui ?

Je secouais la tête pour évité de répondre à cette question qui, je le devinais, causerait pas mal de soucis, et descendit une à une les marches en pierre qui menaient aux cellules. Ma rage commençant à recouvrir tout le reste. Je souris, voilà, il ne fallait plus penser à lui, mais à ce que j'allais faire subir à ces impertinent.

Les flammes dansaient en éclairant faiblement ma peau, étirant mon ombre vacillante dans l'étroit couloir, avec une démarche toujours aussi énervée je m'approchais d'une cage aux barreaux de fer, celle-là même où j'avais jeté les deux domestiques avant de courir retourné voir s'il allait bien. Pourquoi un tel empressement d'ailleurs ?

Ah non non ! J'avais dit que je ne pensais plus à lui !

Et je n'eus aucun mal n'a l'appliqué a l'instant ou les éclairs que lançait mes yeux tombèrent sur le corps des insubordonnées, ils étaient là. Évanoui, mais encore vivant, leurs faibles respirations trahissaient les souffles de vie qui les traversait, et d'un coup, j'eus envie de les réduire à néant, de les transformer en centre sous le feu de ma colère. Je me laissais encore une fois dominé par mes instincts, mais ça m'allait bien. Déterminé à leurs faire regretter leurs actes, j'entrais dans la cellule et leurs donnait un coup de pied pour les réveillés tout en dégainant un de mes sabres.

Rouge-Espoir (Zosan)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant