Different but no different T1 || Noah X OC

Chapitre 14

Plus de trois semaines se sont écoulées et depuis, rien n'a changé.
C'est bizarre de dire que Noah est mon petit ami maintenant. Cependant pour Marois et Charlotte, ça ne change rien.
Ils nous avaient donnés au maximum jusqu'à la fin de la colo pour tomber dans les bras l'un de l'autre et finalement ça s'est passé plus vite que prévu.

Le problème étant que nous n'avons passé que quelques semaines ensembles et nous devons déjà nous quitter. L'heure du départ a sonné pour nous et nous sommes en route pour l'aéroport. Je repars à New-york avec Marius et Noah. Charlotte vit en Californie à San Francisco.

Le départ est compliqué. Nous ne sommes pas sures de nous devoirs d'ici là. Si l'année prochaine on se revoit, ça sera très certainement dans cette même colonie.

Charlotte vient de partir prendre son avion. Nous devons embarquer dans peu de temps et nous disons au revoir au reste du groupe.

Après quelques petites galères, nous montons dans l'avions. Par je ne sais quel miracle, nos sièges sont justes les uns à côtés des autres. Serait-ce le destin qui ne veut pas nous séparer tout de suite ?

Marius et Noah se chamaille. Ils sont séparés par ma présence entre eux deux ce qui est plus compliqué pour se battre. Je m'occupe d'eux durant tout le long. De vrais enfants. On discute, on rit pendant cinq heures.

Il est vrai que je n'avait pas imaginé passer ma colo  môme ceci. Je n'avais pas du tout prévu de rencontrer un garçon du nom de Noah Schnapp et encore moins de sortir avec.

Le moment des au revoir, le moment que j'ai le plus redouter depuis notre fameuse virer en dehors de la colo. ai essayer de le rassurer en me disant qu'on pouvait toujours se voir ou se parler par message. J'ai passé un mois avec et coupé court le fera bizarre. Je n'ai pas le choix.

—Bon vous deux, éclatez-vous bien ensemble. Emy, je te le confie.

Je me met à rire et prend une dernière fois le châtain dans mes bras.
Il s'en va, nous voici donc tous les deux, Noah et moi.

—Bon, commence-t-il. Mes parents vont pas tarder.

—Les miens sont déjà là.

Il acquiesce silencieusement et baisse le regard.

—J'imagine qu'on se revoit vite ? , relève-t-il ses yeux vers les miens.

—Oui, souris-je. Très vite.

Il sourit et approche pour poser délicatement ses lèvres sur les miennes.

—Je t'accompagne.

Il attrape ma valise et avance vers la sortie sans que je n'ai le temps de dire quelque chose. Je le vois s'avancer et je souris. Alors c'est lui, le garçon que j'ai certainement attendu durant longtemps ?

—Bon Andrews, tu viens ?

—J'arrive, Schnapp.