𝐿'𝐴𝑝𝑜𝑐𝑎𝑙𝑦𝑝𝑠𝑒 𝐷𝑒𝑠 𝐻𝑎𝑟𝑔𝑟𝑒𝑒𝑣𝑒𝑠 ᵒⁿᵉ

Chapitre 17/ Qu'un Simple Suicide.

Pdv Éméline

Cinq : Éméline?

Je sursauta et j'ouvrais les yeux, j'avais veillé toute la nuit dans la chambre de cinq en attendant que celui ci ce réveille. Il était redressé sur son lit assis en face de moi.

Éméline : cinq ? Ça va ? Comment tu te sens ?

Cinq : très bien mais on s'en fiche. On doit parler.

Je dégluti avec difficulté. Je n'avais pas vraiment envie de parler de la dernière fois que nous nous sommes retrouvé seuls.

Cinq : je veux te le dire la maintenant car à chaque fois que j'essaie de te le dire quelque chose ou quelqu'un m'en empêche. Alors voilà...

Éméline : non.

Cinq : quoi ?

Éméline : ne dis rien.

Cinq : pourquoi ?

Éméline : il reste deux jours, deux jours avant que le monde tombe en ruine et je n'ai pas envie de passer ces deux jours à repenser que je t'ai brisée le cœur.

Cinq : tu ne ressens pas la même chose ?

Éméline :bien sur que si, quand je suis avec toi je me sens bien, j'ai tellement envie de passer le reste de ma vie à tes côtés mais c'est impossible.

Les larmes commencèrent à monté.

Cinq : pourquoi ? Pourquoi ça serait impossible ?

C'est vrai, pourquoi ? Pourquoi je n'arrive pas à accepter le fait que je ressens des sentiments envers cinq ?
Je ne veux tout simplement pas changer nos souvenirs qu'on avait ensembles. Et puis même si un jours cela venait à ce terminer, ça aura détruit toute notre histoire. Et je ne le voulais pas.

Éméline :on ne peut tout simplement pas.

Cinq : c'est faux. Tu cherches une excuse pour ne pas être franche avec toi même. Tu n'arrive pas à t'avouer que je te plaît.

Je me leva de la chaise et commença à sortir de la chambre de cinq mais celui ci me rattrapa par le bras me retourna et m'embrassa.
Je rompit le baiser et partie de la chambre en courant en laissant cinq seule.

Je descendais dans la cuisine ou il n'y avait personne. Je m'assis sur une chaise en repensant à ce baiser quand klaus entra dans la pièce.

Klaus : oh Éméline tu es la super...
Tu vas bien ?

Je me souvins que quand je pleurais mes yeux devenaient rouge.

Éméline : oui j'ai juste des allergies...

Klaus: depuis quand ?

Éméline : maintenant apparemment.

Klaus : si tu le dis. Bref tu sais où est cinq et luther j'ai un truc important à dire la tout de suite.

Je pointa le doigt vers le haut pour désigner les chambres.

Klaus : merciii.

Il partie de la cuisine et revenait avec cinq.
Nos regard se croisa et il vit les yeux rouges. Il s'installa et luther nous rejoignait avec la gueule de bois.