Septième lettre

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Eliot,
Gardons la tête haute, même si nous sommes plongés dans ce vide qui nous sépare. Le froid fait partit des saisons, qui font partit de la vie et qui nous font prospérer à chaque jour qui passe. Je ne suis pas inquiète, étrangement.

Ce n'est pas tant le fait que mon village n'est pas bien, tu sais ? C'est qu'il est fade sans ta présence et qu'il me manque cruellement une partie de toi. J'en souffre, mais mon regard croise les étoiles et elles me font sourire. Elles me promettent un bon avenir, je crois.

Tu es mon rêve, bel amour. Je pourrais me droguer de tes mots, tant leurs beauté est parfaite.

Tu me parles du futur, mais j'en ai peur, donc je vit pour toi, pour nos lettres et je savoure chaque instant qui me rapproche un peu plus de toi. Le temps est trompeur, mais nous allons le vaincre.

Cette définition de cette vie que tu me promets me fais languir et je ne me lasse pas de cet amour que tu me portes.

Rassure toi, toutes mes pensées ne sont dirigées que vers toi.

Prend soin de toi, amour étoilé,
Charlotte

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