vingt-et-un

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Les heures passe, et tu ne t'efface pas. Ton prénom, ton odeur, tes bras ne s'efface pas. Les marques sur tes bras - sûr les miens- ne s'efface pas. Les souvenirs de toi, ne s'efface pas - de moi.

Je suis là, à deux heures avec ma clope. Ça fait longtemps, que je crapote.

J'ai peur de fumer. De me rappeler, ce que ça fessait quand tu fessait passé toute la fumer de l'intérieur de tes poumons jusqu'à mes lèvres.

De tes lèvres. Rosé par le froid, comme ton p'tit nez.

Je commence à devenir chiante avec toujours cette même question mais m'aime tu encore? M'a tu aimé? Ou ce n'était pas de l'amour?

J'ai trois millard de question comme ça, j'me les pose tout les jours. Parfois, j'arrive facilement à dormir, mais là ça vas faire trois nuits que je ne dors plus, que je met ma main devant ma bouche pour pas qu'on m'entendent pleurer et que je scroll ta page Instagram.

J'ai cru que j'allais me dessécher, comme une plante qu'on aurait laisser au soleil sans eau.

Ce serait trop cliché de dire que tes mon oxygène, mon soleil. Alors tu sauras mon eau.

C'est bizarre, mais tu souris sur tes photos, tes belle. Mais putain qu'es que je t'aime.

T'a l'air heureuse.

Tu m'a promis que (...) je t'aime point.

Tu m'a promis tant de chose.

De l'amour. Une famille. Une fratrie.

J'ai des cernes jusqu'en bas de mes genoux. J'te veux toi. J'te veux dans mes bras.

On est toujours triste à la même période. Septembre.©️

- 21 septembre/voilà quil est trois heures

- Ash

Texte ✨Où les histoires vivent. Découvrez maintenant