Chapitre 1

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Nataho, 20h11

20h11, aucuns bruits dans les rues de Nataho. Les rues vides et désertes laisse place à la nuit, aucune voiture, aucun chat, les magasins encore ouvert son vide. Les marchands craignent l'arrivé de blessés, chaque soir des hommes viennent pour dépouiller les différents étalages des superettes.

Nataho, une ville à double tranchant, le jour les passants inondent les rues, la craintes n'existent pas, les gens sont heureux, mais dès que la nuit tombe, les passant rentre en vitesse, la peur augmentent, les gangs prennent le pouvoirs de la ville. Les coups se font entendre, le sang coule.

Ce soir, dans les rues normalement vides on pus entendre les pas d'une personne. Une jeune fille traversant la rue atteint une superette. Les portes de la superette s'ouvrir, le marchand peu rassuré regarda la jeune fille qui venait de rentrer d'un mauvais œil. Elle se baladait dans les rayons, prit quelques produits puis vint en caisse. Le marchand sembla déboussolé, à cet heure il y avait seulement des voyous, devant lui se trouvait une jeune femme prête à payer ces courses innocemment. 

      - Excusez-moi, vous aurez des cigarettes Marilo?

Le vendeur étonné de sa question se retourna et chercha des son regard les fameuses cigarettes.

      - Combien voulez-vous de paquet mademoiselle?

      - Je n'en prendrais qu'un s'il-vous-plaît.

Le vendeur fit donc le compte de tout ces achats, lui indicans le prix, elle paya la somme, elle prit ensuite son sac puis partis de la superette laissant seul le marchand qui n'avait pas compris sa présence.

La jeune fille sortie dans la rue, la traversa et marcha jusqu'à l'entrer du parc de Nataho, jusque là personne, aucun bruit, elle prit dans son sac une briquette de lait à la fraise, elle commença à boire sa boisson en traversant le parc, arrivé à la moitié du chemin des bruits ce font entendre, elle avança jusqu'à pouvoir voir la scène de bagarre qui se déroulait devant elle. La jeune femme continua de boire sa briquette de lait à la fraise. Elle regarda la scène comme si un film se déroulait devant ces yeux.


Nataho, 20h26

Les coups font rages, une cinquantaine d'hommes et de femmes se frappais tant dis que la spectatrice avait finit sa briquette, elle prit une Marilo, la porta à sa bouche et y mis feu. Elle inspira et expira de grand coup. Un homme musclé entre la trentaine et la quarantaine se présenta à elle. La jeune femme ne bougea pas, elle ne faisait que fumer. L'homme essaya de la frapper, la jeune se décala sur le côté laissant le pauvre homme se mettre en colère. 


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Nataho, 20h31

J'esquive les coups de l'inconnu depuis 5 minutes déjà, ma cigarette s'est éteinte, mon sac toujours dans les mains et l'inconnu devant moi, comment me sortir de là. Les autres autour ne semble me remarquer, cela m'arrange, je viens d'emménager dans cet ville et je ne compte pas me mêler à cet baston général. L'homme devant moi est déjà essoufflé, je lui mis un coup de genou dans le ventre sans difficulté, l'homme se tenant d'une main le ventre me regarda avec un sourire carnassier, je détourne le regard essayant de trouver le chemin vers ma rue, j'aperçus de l'autre côté du brouillard crée par les coups donné par les personnes se bastonnant le chemin que je cherchais. Je soupire un bon coup puis partis en plein milieu de la bagarre laissant l'homme au sourire carnassier seul derrière. Je passe, j'esquive et je pousse les autres pour passer. J'arrive en plein milieu ou se qui me semblait être les chefs de ce grabuge se battait, je regarde autour de moi si il y avait un moyen de les contourner, aucun ne se présentait à moi. Je soupira une autre fois puis passa en plein milieu des derniers groupes se battant puis arriva au milieu juste devant les deux chef qui ne font aucunement attention à moi, j'avança, je stoppa leur poing avec mes deux mains et les poussa légèrement en arrière, je regarda la personne à ma droite qui ressemblait à une fille, la personne avait les yeux bleu, des cheveux roses attachée en couette, je regarda aussitôt à ma gauche, la personne avait des cheveux bleu mi-long détaché et les yeux brun, tout deux sont entre surprise, méfiance et incompréhension. Je passa sans dire un mot puis continua mon chemin, je le pris pour renter, il était bien calme comme le reste de la ville, étrange. J'arriva assez vite chez moi ou ma coloc m'attendait.

- Je suis rentrée!

Le retour du soleil {TOME 1}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant