Chapitre.2.

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Ils montèrent à l'étage vers la chambre de Kirishima, Bakugo ne connaissent pas vraiment la maison de Kirishima. Il ne venait jamais chez lui sauf pour réviser, jouer aux jeux vidéos et même regarder des films. Ils rentrèrent dans la chambre de kirishima, une chambre d'adolescent assez  simple. Bakugo enleva son bras du cou de son ami et s'allongeât brusquent sur le lit de Kirishima  qui eu un léger sursaut et se pencha vers sont étagère de jeux vidéo auquel il avait déjà jouer dans le passé avec Bakugo.

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Kirishima : Celui la, ca te va ? En indiquant le jeux vidéo favori de son ami presque sur qu'il allait dire oui.

Bakugo : Le message. Il sorti cette phrase d'un air sec. Kirishima avala sa salive. Il ne pensait pas que Bakugo avait remarqué quelque chose dans son message.

Kirishima : C'est à dire ? Tu attend quelque chose de ma part ?

Bakugo : Ne fait pas l'idiot putin ! Kirishima eu peur un certain moment, il n'eut pas le choix 

Kirishima : Bon alors...Je pense pas que tu veuille savoir maintenant. Un blanc de quelques secondes fut une éternité dans la pièce. 

Kirishima : Si ?Bakugo se redressa et regarda Kirishima d'un air que l'ont ne pouvait pas vraiment décrire. Il avait juste l'air d'attendre mais vu les mots de Kirishima, il savait que ca n'allait pas être une bonne nouvelle, il ne préféra pas montrer son inquiétude.

Bakugo : bien sur que je veux savoir idiot. Kirishima rougis, il inspira profondément et commença.

Kirishima : Je suis malade, je n'en ai pas pour longtemps. Kirishima continua de parler, Bakugo ne l'écouta pas, il ne savait pas quoi penser, il ne comprenait  pas. C'était...une blague ? Se répétait-il. Enfin c'était si soudain pour lui, il posa ses main sur son front.

Bakugo : Kirishima ? Il regarda Bakugo d'un air abattu.

Kirishima : Oui ?

Bakugo : Tu rigole ?

Kirishima : non.

Bakugo : Je..il te reste sûrement combien de temps. Même si je refuse d'y croire.

Kirishima : surment 6 mois. Il était choqué, Bakugo sorti de la pièce, puis de la maison. Il courut il voulait exploser. Il ne put s'empêcher de penser "plus pour longtemps ?" Un milliard de fois. Ces mots tournèrent dans ça tête. Il s'arrêta à un parc et s'assit sur une balançoire. " pourquoi ?" "C'est pas possible" On ne dirait même pas qu'il est malade. 

Bakugo fut couper dans sa pensée. Kirishima l'avais retrouvé. A la grande surprise de Bakugo Kirishima pleurait. Il courut vert son amis et se mit à genoux devant lui et pleura à son tour sur ses genoux. Bakugo lui passa une main dans ses cheveux. Il ne put s'empêcher de pleurer. Kirishima n'avait jamais entendu Bakugo pleurer. Bakugo n'a jamais pleurer devant personne enfin, pas à la connaissance de kirishima. Personne ne parlait juste des sanglots. 

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Bakugo : Pourquoi  tu a fait en sorte que je m'attache à toi ? Kirishima avait le cœur serrer face aux mots de Bakugo. Le Bakugo qu'il connaissait n'aurait pas réagi comme ça. Il découvrait une nouvelle partie de celui-ci, mais pas une partie qui le dérangeait. Une partie sentimentale qui le réchauffa le cœur.

Kirishima : Je suis désolé. 

Ils étaient toujours au parc. Bakugo continua de passer sa main dans les cheveux de son ami, kirishima lui, ne pu s'empêcher d'apprécier se moment malgré les événements qui allait se produire par la suite. Bakugo poussa Kirishima pour se lever et lui tendît la main de sorte à se qu'il puisse se lever. Bakugo l'attrapât brusquement et le sera dans ses bras. Kirishima lui passa à son tour la main dans ses cheveux. Bakugo ne dit rein.

Kirishima : Tu est la seul au courant. 

Sur le chemin du retour Kirishima proposa à Bakugo de dormir chez lui. Bakugo accepta, il n'arriverait sûrement pas à lui refusé les choses simples maintenant. Kirishima regarda Bakugo, il pouvait le voir dans ses yeux, Bakugo pleurait de l'intérieur.

Kirishima : Tu sais, pour l'instant je suis encore en état de marcher, courir, parler. Donc faisons le plus de choses possible pour profiter d'accord ? 

Bakugo : Oui, mais du temps que tout va bien ne me parle pas de cette maladie  sinon je te tue. Bakugo se détesta d'avoir dit ça, il mit une main devant Kirishima pour s'excuser, Kirishima explosa de rire. Bakugo était gêné. Kirishima n'était pas dérangé par la mauvaise blague de son ami. Il était habitué par le langage de Bakugo. Il continuaient la route et arrivèrent chez le malade. 


I see it in your eyesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant