Chapitre.8.

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Bakugo venait de quitter la pièce. Kirishima soupira avec beaucoup de mal au niveau de sa prononciation « heureusement qu'il c'est dépêché de partir sinon je n'aurais pas pu prendre mes médicaments a temps » il se redressa doucement et se pencha en avant, il fit glisser sa main sous son lit et attrapa une boite de médicaments douteuse. « Je suppose que je ne suis pas sensé faire ça ? Mais c'est sûrement le mieux. » 

Bakugo rentra chez lui. Il mangeât avec ses parents qui était maintenant au courant pour la maladie de Kirishima et montât directement dans sa chambre. Il ne put s'empêcher d'avoir un mauvais pressentiment envers Kirishima. Pas du fait qu'il ne faisait pas confiance aux infirmiers et docteurs mais plutôt que il était inquiet que Kirishima soit seul la plupart du temps surtout que il allait rester à l'hôpital pour de bon. Mais il préféra ne pas l'appeler, il devait se reposer. Il posa son téléphone qu'il avait pris sans s'en rendre compte. Les minutes passèrent et d'un coup Bakugo s'endormit. 

Le lendemain, il ne perdit pas de temps et dès le matin, il se dirigea vers l'hôpital. Il voulait passer ses journées avec lui.

Il arriva à la réception en saluant l'infirmière qui s'occupait des soins réguliers d'Ejiro et se dirigea vers sa chambre dont il était déjà bien habitué. Il toquât à la porte, pas de réponse. 

Il entra, Il était en train de dormir profondément. Il referma la porte avec soin pour ne pas le réveiller. Il souleva la chaise pour éviter de la faire grincer contre le sol, il posa toutes ses affaires et s'assit sur la chaise à côté du lit qu'il venait de soulever. 

Bakugo contempla le visage de Kirishima affaibli par la maladie. Ce n'était plus le même visage qu'il avait déjà il y a 1 mois, son visage maintenant possédait de grandes cernes noires, sa peau était pâle et sèche. Ses cheveux maintenant était rouge seulement aux pointes, ses racines étaient blanches et se dégradèrent au noir. 

Malgré son apparence, ca n'empêcha en aucun cas le cœur de Bakugo battre devant celui-ci. Il était tout ce qu'il avait. Il savait qu'il allait devoir lui dire au revoir bientôt, son apparence et ses capacités physiques le montraient après tout... mais pour l'instant il était toujours là et c'est ce qui contait le plus pour Bakugo. Il ne voulait pas se détacher, même si il le fallait son cœur en était incapable. 

Il se pencha et pris légèrement la main du malade. Sans savoir pourquoi, il parla a voix haute. 

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« hey Kiri. Hum, je ne sais pas si tu m'entends vraiment mais ce n'est pas grave, je dois te dire ce que j'ai sur le cœur. Je ne vais pas y passer pas quatre chemin. Tu est l'homme de ma vie. Avant cette année de seconde je n'avait pas vraiment d'amis, enfin c'était plutôt des couvertures. Tu sais ? Le genre de gens qui reste avec toi juste car tu fait la racaille et que ta un alter trop stylé... ben c'est gens là restaient avec moi. Il y'avait Deku aussi. Tout le monde pense que je le hais car je l'insulte ou ce genre de choses. Crois moi Kiri... ce gars là je l'aime bien. C'est un vieux nerd mais...il m'a appris que rabaisser les autres pour se sentir plus fort ne servait à rien. Je regrette. Tu sais la nuit où on s'est battu. Merde Kiri je dois te le dire même si je ne devrais pas. Ce deku, il a belle est bien l'alter de All Might. Tu pense que c'est une hypothèse pas vrai ? Je l'ai deviné et il me la avouer. All Might lui a transmis sont alter et le forme pour être le numéro un des héros. Ce type veut être un héros pour « sauver les gens avec le sourire » et le voilà à devoir devenir le numéro un et prendre mon rêve par la même occasion. Je suis triste Kirishima. Je suis triste mais je l'aiderais et lui montrera qu'il peut être le numéro un des Héros. Enfin bref il n'ya pas que ça. Comme je te l'ai dit avant, je n'avais pas d'amis. Toi, Denki, Sero, Mina, Shoto, Jirou, Momo, Mr.Aizawa et tout les autres...Cette classe, la seconde A vous m'avez appris à être moi. Je vous aimes tous. Ne t'en fait pas je leurs dirai je te le promets. Je sais ce que tu attends de moi après tout. En ce qui te concerne je pourrais te le répéter chaque secondes. Tu est l'homme de ma vie... Tu ne serai pas malade je pense que je t'aurais demander en marriage à la plage. Ce moment m'a fait vraiment comprendre que j'étais fou amoureux de toi bordel... Tu ma appris à aimer et à exprimer ma tristesse où tout autre genre de sentiments. Je suis enfin devenu moi... Je ne suis plus le Bakugo qui  frappe ou  insulte pour rien. Je sais que je peux moi aussi être un héros dont tout le monde parle avec le sourire, moi aussi je vais sourire en leurs parlant. Chaque instant je pourrais me dire que c'est grâce à toi tout ça et je le sais...Bakugo s'arrêta quelques instant et repris. Mais qu'est-ce que je souffre encore bordel. La vie est vraiment une ordure de laisser partir. Je veux que tu aille mieux et qu'on soit heureux merde. Je veux que tout le monde sache que l'ont s'aime et que je t'aime Kirishima, je veux être avec toi pour toujours. Et je veux juste que tu sache une seule chose. Je n'ai jamais regretter de t'avoir rencontré, d'être sorti avec toi, de t'avoir dit que je t'aimais et plein d'autres choses. Tu est mon ensoleillement pour toujours. Tout les moments que l'ont aura passer seront les meilleurs et aucun moment ne pourra être meilleur. Alors je vivrai toute ma vie avec le fardeau de ta mort, je serai surment traumatisé et je ne voudrais sûrement plus sortir de chez moi je n'en sais rien. Mais je t'aime et toi aussi je le vois dans t'es yeux et ça ne pourra égaliser avec rien. » 

Bakugo ne s'était pas rendu compte qu'il était en train pleurer, en même temps vu tout ce qu'il venait d'exprimer c'était assez normal. Il était toujours en train de tenir la main de son âme sœur jusqu'à ce qu'il se rendit compte qu'il lui serra la main encore plus fort et pleurait aussi. Bakugo compris que il avait belle et bien tout entendu. 

Quelques minutes après, Kirishima ouvra les yeux. Bakugo lui parlât comme si rien ne c'était passer. 

Bakugo : Tu a bien dormi ? Kirishima sourit et acquiesçât. Il pris la main de Bakugo toujours dans la sienne et la posa contre son torse. Il pouvait sentir son cœur battre si fort lui aussi. Il rougis et lui proposa de regarder un film, celui-ci accepta. 

Kirishima se décala pour lui laisser une place, il monta dans le lit avec lui et se pencha pour prendre son ordinateur qu'il avait poser sous le lit. Il remarqua quelque chose qu'il ne pu faire semblant de ne pas avoir vu sous le choc.


I see it in your eyesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant