La rébellion {DRARRY}

Chapitre 20

PDV omniscient:

Quelques jours plus tard, les trois serpentards et les trois griffondors étaient en cours de potions quand le professeur McGonnagal les demanda dans son bureau. Ils y arrivèrent quelques temps plus tard, et la sage sorcière leur annonça que la mission pour éloigner la mère de Draco du danger avait été un succès.
Severus lui avait donné un lieu de rendez-vous et lui avait expliqué la situation. Elle avait aussitôt accepté et elle était maintenant en sécurité au Q.G. de l'Ordre du Phénix. De plus, la couverture du maître des potions n'était même pas en danger.

Les troupes de Voldemort approchaient et l'Ordre du Phénix restait maintenant constamment à Poudlard pour être prêt, et mettaient en place leurs pièces sur l'échiquier.
Harry avait pû apercevoir des dragons, des chiens à trois têtes, des éruptifs, des hyppogriffes et autres créatures dont ils ne connaissait pas le nom ainsi que de nombreux objets étranges, paraissant puissants.

Le professeur McGonnagal avait prévenu les élèves qu'une guerre allait avoir lieu ici, et avait dit que ceux qui le souhaitaient pouvaient partir.
À ce moment, les anciens membres de l'Armée de Dumbeldore se sont réunis à nouveau, proposant d'aider leur leader, Harry, dans cette guerre.

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Un jour, Harry, Hermione et Ron furent appelés dans le bureau de la directrice. Elle les fit transplaner et ils atterrirent dans une chambre, où se trouvait Rémus Lupin et Nymphadora Tonks, tout les deux accompagnés d'un bébé.

- Voici Edward Ted Lupin, notre fils. Et ton filleul, Harry. Annonça l'ancien professeur de défense contre les forces du mal.

Le trio resta bouche-bée puis des exclamations de joies et des félicitations retentirent.
Harry ressentit un bonheur immense. Ils l'avaient choisi lui, comme parrain.

- Nous... Nous connaissons les risques qu'impliquent la guerre. Et c'est pour cela que nous voudrions que notre fils ait une famille si nous ne revenions pas. Et nous aimerions que tu t'occupes de lui dans ce cas là, Harry. Nous savons que nous te demandons beaucoup, que tu es encore jeune, mais nous avons besoin de savoir que notre enfant aura quelqu'un pour veiller sur lui. Demanda Lupin avec sérieux.

Le jeune sorcier à la cicatrice ne sut quoi dire pendant un moment, avant de hocher la tête. Il s'occuperait de lui dans le cas où Rémus et Tonks mourraient, c'était une promesse.

Ils ne purent pas vraiment fêter la naissance de l'enfant, mais ils discutèrent pendant un moment avant qu'il soit décidé que les griffondors doivent retourner à Poudlard.

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(Merci ElinaPvn de m'avoir donner l'idée de Teddy comme étant le potentiel futur enfant de Harry et Draco, même si c'était indirectement) X)
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Assis sur le balcon de la tour d'astronomie, le dos collé au torse de Draco qui avait les bras autour de sa taille, Harry observait l'horizon.
Cela serait sûrement le dernier moment de calme qu'ils pourraient passer en tête à tête avant que l'armée de Voldemort n'arrive à Poudlard, c'est-à-dire le lendemain.

Le calme avant la tempête, comme on dit.

Le blond attrapa la main de son amant et la serra doucement.

- Tu sais... Ma mère est au courant pour nous deux et ça ne la dérange pas. Alors, je me dis que si on survit peut-être que l'on aura un futur devant nous... Murmura le serpentard.

L'intéressé tourna la tête vers celui qui avait pris la parole, puis lui offrit un grand sourire rempli d'affection.

- Il n'y a pas de peut-être qui tienne. Répondit l'élu.

Et ils se donnèrent un baiser par lequel ils transmettèrent tout l'amour qu'ils portaient l'un envers l'autre.
Puis ils retournèrent se coucher, malgré le fait que la nuit était déjà bien avancée.

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Dans les jardins du château, Hermione Granger rejoignit Pansy Parkinson comme celle-ci lui avait demandé.

- Tu voulais me voir ? Lui demanda doucement la griffondor

La serpentard hocha la tête et s'approcha doucement pour caresser la joue de la brune.

- Je pense que c'est le bon moment pour te le dire alors... J'ai des sentiments pour toi, Granger. Lui avoua Pansy.

La concernée se mit à rougir. Un silence se mit en place avant que la griffondor ne prenne la serpentard dans ses bras et lui murmure:

- C'est Hermione pour toi, Pansy.

Et elles restèrent là un long moment, redoutant le moment où elles devront se séparer.
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(Nda: Je ne sais pas du tout comment développer toute la bataille alors je vais faire ce qui s'est passé après, ne m'en voulez pas) ;')
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L'école de magie était en ruine. Des décombres, du sang, des cadavres.
Parmi ces derniers; des ennemis, mais aussi des alliés.
Nombreuses étaient les pertes et les blessés, et nombreux étaient ceux qui déploraient un membre de leur famille ou un ami.
Comme la famille Weasley, qui était en train de pleurer la mort de l'un des jumeaux, Fred Weasley.
Ou Harry, qui voyait tous ces morts, et qui apprenait la mort de Lupin et Tonks, laissant leur fils orphelin à la garde de son parrain.

Mais parmi toute cette douleur; du soulagement, de la joie, des retrouvailles.
Le soulagement que cela soit enfin fini, que le mage noir était parti, et pour de bon cette fois-ci. La joie de retrouver ses amis, sa famille, son conjoint ou sa conjointe vivante et non parmi tous ces corps qui commençaient à être retirés par des volontaires.

Harry retrouva Draco et ils se serrèrent l'un contre l'autre dans l'intention, si c'était possible, de ne plus jamais se détacher.
Pansy embrassa Hermione, et Ginny câlina Luna.
Blaise sur un coup de tête, attrapa Ron et le serra à lui, exprimant l'inquiétude qu'il avait ressenti à l'idée de le perdre.

Et tous se retrouvèrent. Harry, Ron, Hermione, Ginny, Draco, Blaise, Théodore, Pansy, Luna et même ceux de l'armée de Dumbeldore comme Neville.

Les semaines qui suivirent ne furent pas particulièrement agréables, malgré tout.

Ayant repris le pouvoir, le monde des sorciers pouvaient apercevoir l'étendue des dégâts qu'avait eu la prise de pouvoir de Voldemort.
Des familles assassinés, torturées. Des moldus ayant reçu des traitements horribles.
Nombreux furent les enterrements, les pleurs, les adieux.
Dur, ça l'était pour tout le monde.

Mais le monde de la magie réussit à se relever, comme le monde moldu, par ailleurs.

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C'est le dernier chapitre :,)
Il reste juste un épilogue
Mots: 1037
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