« Même dans les nuits les plus sombres, le jour fini par se lever »
Le jour, Avery tente de vivre positivement malgré les tiraillements douloureux qu'engendre sa vie. Sa plus grande peur ; se retrouver seule. Lorsqu'elle n'est pas au travail, elle v...
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— "Even the nights end when the day breaks"—
NIGHTS meets DAY
— K N I G H T —
— C'est ce que je veux, moi aussi, elle fini par décréter.
La sincérité de ses mots me cloues littéralement le bec. Je pourrais rétorqué quelques choses, mais ça serait mal venu de ma part. J'ai toujours été réputer comme étant le parfaite abrutis qui casse l'ambiance. Enfin c'est ce que Griffin a toujours dit de moi et la plus part du temps il n'as aucune pitié et rarement, il éprouve des regrets. Ce mec, c'est le cash absolu, jamais il n'osera passé par quatre chemin pour m'annoncer une chose, ou un autre.
L'entendre me certifié que nous sommes sur la même longueur d'onde me rassure énormément : un rictus s'étire alors sur mon visage, alors que je baisse mon regard sur nos chaussures. Le lino du couloir de l'hôpital, est usé et est recouvert de trace de pâte d'animaux multicolore. L'espace d'un instant, j'avais oublié ou nous nous trouvons.
Je relève alors brusquement la tête vers son visage pale et dévasté par la tristesse. Visiblement, elle essaie de se calmer, cependant, quelques unes de ses larmes semblent persister au coin de ses yeux. Il faudrait être aveugle pour ne pas voir, qu'elle est terrifier.
Terrifiée, par des centaines de choses. J'aimerais être là le jour où son frère la laissera seul, seulement, les mondes dans lequel elle et moi, vivons sont diamétralement opposé. Milles trois cent quatre vingt huit virgule quatorze kilomètre nous séparera éternellement, et pendant qu'elle écrira des articles pour le pays, moi, je ferais office de videur de boite dans ma ville de débauche.
L'espace d'un cours instant, je me suis demandé qu'est-ce qu'aurait été cette soirée si je n'avais pas fait ça rencontre. De toute évidence, elle n'aurais pas eu la même saveur, et cette pensé a la don de me briser le coeur.
— Tant mieux,je fini par reprendre.Je ne m'serais pas ridiculisé sur se coup là.
Elle souri. Un sourire triste, certes, mais j'aperçois une ranger de sa dentition parfaitement blanche. Sans rien ajouté, je parviens a la faire assoir sur l'une des chaises jaunes poussin qui borde les murs du service pédiatrique.
— Te ridiculisé,elle articule au travers de sa respiration saccadé.Comment ça ?
Je glousse en soupirant.
— J'en sais rien... hum. En faite, j'ignore complètement pourquoi j'ai dit ça. Oh. Merde mais qu'est-ce qui tourne pas rond chez moi,j'ironise.
Un éclat de rire impromptue lui échappe, alors que ses pupilles reprennent un légère éclat noisette, que j'aime tant. Je persiste a l'observer, alors qu'Avery entreprend de se relever les cheveux, pour dégager sa chevelure de sa nuque. Elle rassemble la totalité de l'épaisseur de ses cheveux dans le creux de ses mains, et en tortille un élastique autour de ses derniers.
