« Même dans les nuits les plus sombres, le jour fini par se lever »
Le jour, Avery tente de vivre positivement malgré les tiraillements douloureux qu'engendre sa vie. Sa plus grande peur ; se retrouver seule. Lorsqu'elle n'est pas au travail, elle v...
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— "Even the nights end when the day breaks"—
NIGHTS meets DAY
— A V E R Y —
Ça ne met jamais arrivée, être aussi proche d'une personne physiquement, depuis un certain nombres d'année. A vrai dire, je crois que la dernière fois que j'ai accepté qu'un homme me tienne aussi proche de lui, ça devait être au lycée, durant ce fameux bal. J'aurais pu être mal a l'aise, de me tenir là, si proche que je peu sentir son souffle tiède s'écraser sur le sommet de mon crâne. Au lieu de quoi, je me laisse guider sans vraiment savoir sur quel pied dansé.
J'ai toujours été une très mauvaise danseuse, peut-être parce que personnes n'as osé m'apprendre les bases de la valses, ou simplement parce que je suis un peu gauche sur les bords. Je me souviens - d'une façon très flou et approximative - qu'a l'âge de cinq ans, j'ai voulu entrer dans le cours de classique de Madame Clifford. Elle avait toujours eu une certaine réputation au près des filles de ma petite ville du New Jersey. Entrer dans son cours était comme un rite de passage pour n'importe qui. Malheureusement, ce n'était pas une évidence pour moi, et très vite j'ai jeté l'éponge. J'ai toujours préféré me plonger dans un bon livre, plutôt que d'enfiler des chaussons de danses pour se coordonner a la musique.
Knight, tel un pro chevalier n'as pas relevé, ne serais-ce qu'une seule fois mes innombrables moments de vacillement. La plante de mon pied croise le bout de son pied, souvent, voir trop souvent, alors qu'il conduit la danse avec une aisance inquiétante. Je fronce les sourcils, alors que d'une façon aussi délicate que forte, Knight me tiens dans ses bras :
— Ou est-ce que tu as appris a danser comme ça ?je m'étonne en fixant les mouvements controlé de ses pieds.
Un léger gloussement s'échappe d'entre ses lèvres. Alors que le tempo de la musique, prend le dessus sur nombreux d'entre nous. Un pas a droite, un derrière, puis a gauche et enfin devant, pour ensuite mieux recommencer.
— Et toi ?il récidive en me retournant la question, personne ne t'as appris a danser ?
Mon père a toujours été ce genre de père aimant, qui rêve d'apprendre a sa fille de danser. Malheureusement, nous n'avons pas eu assez de temps ensemble pour que se souhait mutuel s'exauce.
— Non. Personne. Désolée de te l'apprendre, mais je suis une piètre cavalière.
— J'avais cru comprendre, il glousse. Jamais personne n'avais marché sur mes chaussures aussi souvent que toi. Fais attention, tu vas devoir me racheter une paire de chaussure, a ce rythme là.
