« Même dans les nuits les plus sombres, le jour fini par se lever »
Le jour, Avery tente de vivre positivement malgré les tiraillements douloureux qu'engendre sa vie. Sa plus grande peur ; se retrouver seule. Lorsqu'elle n'est pas au travail, elle v...
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— "Even the nights end when the day breaks"—
NIGHTS meets DAY
— A V E R Y —
J'aime New York pour cette raison : on ne sais jamais sur quoi on vas pouvoir tomber. Isolée, hors du temps, et simplement magique, je me laisse immerger par tant de magnificence. Des pépites comme cette endroit mériteraient d'être connu. Pour ma part, j'ignorais totalement son existence jusqu'a ce que Knight m'y amène.
Lentement mais surement je pivote sur moi même, mes yeux éblouis par ses dizaines de petite boules dorée lumineuses. Elles chatoient toute d'une manière inégale, pourtant unis, elles forment un tous ensorcelant. Je laisse mes yeux admiré ce spectacle qui me coupe le souffle.
La talon de mes bottines, heurtes, a plusieurs reprise le sol miroitant, dans lequel les guirlandes se reflètent. Alors que je tourne sur moi même, comme pour m'imprégner de chaque recoins de la galerie souterraine.
L'endroit est vide, en même temps, je pense que le nombre de personne qui connaissent ce lieux doit être minim. Moi même, alors que je vie ici depuis des années, j'ignorais totalement sont existence jusqu'a ce qu'il mis emmène.
— J'ai lu que cette galerie parcourais prêt d'un pâté de maison. Elle s'étend sur des dizaines de kilomètres, et il faudrait plus d'une nuit pour la traverser.
— Knight...je chuchote éblouie.C'est magnifique.
A vrai dire, je ne sais pas trop quoi dire d'autre étant donner que les mots me manquent. C'est comme si nous étions cerné par de la poussières d'étoile. Même a côté d'autant de lumière, les astres de la nuit palisse.
— Je... j'essaie de reprendre simplement le souffle coupé. Je vis ici depuis des années, et je n'ai jamais vu quelques choses d'aussi beau. C'est comme si nous étions au coeur de l'univers.
— D'un univers qui nous coupes totalement du monde.
C'est vrai, l'espace d'un cours instant j'oublie que nous sommes au coeur de Manhattan et que par conséquent, quelques mettre au dessus de nos têtes la folie New Yorkaises vibre, alors que nous approchons de la première heure de la journée.
— J'ai vu l'adresse de cette endroit dans un magasine, il m'avoue en s'approchant de moi alors que sa voix raisonnait dans la galerie.Et je me suis toujours demandé si la phrase de fin « comme un conte de fée » était réel. Ce soir, je sais. Je sais que le journaliste qui a écris cette chronique sur l'endroit avait totalement raison.
— A croire que, finalement, tu commence a connaitre New York.
