« Même dans les nuits les plus sombres, le jour fini par se lever »
Le jour, Avery tente de vivre positivement malgré les tiraillements douloureux qu'engendre sa vie. Sa plus grande peur ; se retrouver seule. Lorsqu'elle n'est pas au travail, elle v...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
— "And when the day breaks, the only hope left is the return of the night"— NIGHTS meets DAY
— A V E R Y —
Les portes de l'ascenseur ont fini par se fermer : comme chaque lundi matin lorsque je me rend au New York Times. Je soupire, alors qu'une fois de plus je me retrouve toute seule dans le cabinet de l'ascenseur. Les portes automatique se ferme, alors que je viens de presser le bouton pour monter dans les étages.
— Retenez l'ascenseur !
Se précipite alors a l'intérieur un silhouette qui met étrangement familière. Vêtu d'un costume trop pièce hors de prix, Elijah s'infiltre dans l'habitacle. Une sacoche brune, il me tourne le dos. Ses cheveux corbeau sont parfaitement coiffé, ce qui d'ordinaire ne lui ressemble pas.
— Elijah ?je l'interroge perplexe.
Se dernier se retourne, une expression amusé sur le visage. De toute évidence, il n'a plus rien avoir avec se garçon négliger que j'ai rencontrer dans la sombreur de la nursery. Je secoue la tête, embarrassé.
— Qu'est-ce que...
Je l'interroge en laissant ma phrase en suspend.
— Qu'est-ce que je fais la ?
J'opine.
— Il se trouve que c'est mon premier jour au New York Times, il déclare. Quitter l'Angleterre pour un job comme celui-ci, c'était logique. J'ai simplement sauté sur l'opportunité. Et toi ?
— Moi ?
— Oui toi. J'adore te croisé, mais je pensais ne pas avoir a te revoir avant... quelques jours tout au moins. Tu porte la même choses qu'hier ? il relève en m'observant.
Avant toute cette pagaille, je n'ai pas eu le temps de rentré me changer, ce qui fait que j'aborde toujours ce même ensemble que celui de la veille dans le bar.
— Je travail aussi ici.
— Ceci explique cela. Mais... hum...
— Je n'ai pas dormis chez moi, je lui explique.J'ai dormis a l'hôpital, près de mon frère.
— Il en as de la chance alors.
— J'ai quelques vêtement de rechange dans le tiroir de mon bureau, alors j'ai pensé que peut-être j'aurais pu me changer avant ma réunion de ce matin pour...
Soudainement je réalise que la réunion programmé par Meredith était en réalité un pot de bienvenue pour quelques nouveau associer, et journaliste. J'écarquille les yeux.
