« Même dans les nuits les plus sombres, le jour fini par se lever »
Le jour, Avery tente de vivre positivement malgré les tiraillements douloureux qu'engendre sa vie. Sa plus grande peur ; se retrouver seule. Lorsqu'elle n'est pas au travail, elle v...
♬ m u s i q u e ♬ — Middle Of The Night - The Vamps & Martin Jensen
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— "Even the nights end when the day breaks"—
NIGHTS meets DAY
— K N I G H T —
La vérité. Jamais personne n'as su définir se principe que l'on nous imposes comme une véritable règles de savoir vivre. La vérité, nous construits, nous embellis, et favorise l'honnêteté : jusqu'a ce qu'elle implose. La vérité, peu s'avérer dure dans la réalité. Et pour ma part, ma vérité, m'indique que le temps a déjà sacrément filer, et que de se fait, mon départ se fait imminent.
Dans un jour, peut-être deux, j'oublierais le grain de son rire mélodieux. L'éclat de son sourire qui se reflète dans ses pupilles brunes a chaque instant. Avery deviendra alors, un pale souvenir parmi tant d'autre, et plus rien, ne pourra jouer contre le temps. C'est comme si je suis pris en piège dans une boucle infernale de réalité. La vérité, c'est que je ne la reverrais certainement jamais. Pourtant, malgré ça, je persiste a vouloir croire en cette irrésistible envie de l'embrasser.
Je déglutis bruyamment, alors que l'Aphrodite semble s'être immobilisé. L'as-t-elle, elle aussi, senti ? Cette électricité qui parcours nos corps lorsque l'un touche l'autre ? Je l'ignore totalement, a vrai dire, je ne le serais peut-être jamais. Avery détourne son visage si brusquement, que j'ai du mal a redescendre sur terre. Mon coeur palpite dans ma poitrine, alors que ma gorge se noue.
— On devrait s'en allé, elle fini par déclaré un peu embarrassé. Sinon Penny va nous tombé dessus, et elle...
— Arry ?
Se surnom lui colle a la peau. A l'entente de son surnom, elle relève le regard perplexe. Alors qu'une petite blonde, de la quarantaine, trottine vers nous. Une barquette de frite en main, elle four dans sa bouche pourpré une portion de frite, qu'elle mâche la bouche a demi-ouverte.
— Penny...elle chuchote en m'accordant un regard affligé. Salut.
— Eh ben ça alors ! s'écrit Penny,ça doit bien faire quoi... onze ans que je ne t'ai pas vu ! Qu'est-ce que tu es devenu belle. Toujours serveuse ?
Je constate que même l'entourage de son oncle ignore qu'elle travail pour le New York Time. Embarrassé, Avery fini par se lever, tout en recalant une mèche de ses cheveux bruns derrière son oreille. Elle entreprend une accolade avec la dénommé Penny.
— Merci, Penny. Oui, elle conclue,toujours serveuse.
Je n'ai jamais aimé mentir au gens. Peut-être parce que ma vie et mon enfance étaient essentiellement basé dessus. Pourtant, ce soir, Avery semble mentir avec une aisance étonnante. Et si elle n'avait que me mentir depuis le début de cette soirée ? Un frisson me parcours le bras.
