PDV Beth Donely
J'étais devant ma porte et juste derrière se trouvait fucking Zayn, qui, égal à lui même, était revenu me voir. Je regardais à travers le judas tout le long de notre "conversation".
- Non, je ne veux pas te parler, en tout cas plus aujourd'hui, reviens demain ou même jamais Zayn.
Allez dégage maintenant.
- S'il te plait, c'est important, Beth.
Il m'énerve putain.
- Quand tu dis important, Zayn, c'est encore me faire des suçons ? Profiter de moi ? J'en ai marre d'être prise pour un jouet par toi.
Il ne répondit pas tout de suite, mais ce qu'il dit après quelques minutes de silence a faillit me faire tomber la mâchoire au sol.
- FUCK BETH JE CRAQUE POUR TOI !
Il avait l'air perdu et exaspéré, et je ne comprenais plus rien à ce qu'il se passait à ce moment même.
Je sorti enfin de ma transe après quelques minutes, m'éclaircissais la gorge et remplaçai mon visage ahuri par un froncement de sourcils confus.
- Quoi ?
Je commençai à me dire que une conversation comme celle ci se devait d'être sans une porte entre nous, et je l'ouvris.
Quand la porte fut ouverte, j'eus une vision sur un Zayn la tête baissée, les yeux dans le vide, avec une expression indescriptible sur le visage. Quand il se rendit compte que je lui ai enfin ouvert, il lève la tête brusquement, les yeux plein d'espoir. Il était vraiment trop mignon. Il me faisais penser à un petit chiot. Ok Beth, calme toi avec les comparaisons.
- Tu hum... Tu veux entrer ?
Autant recommencer sur de bonnes bases et fuck les règles pour une heure au moins. Il me regarda un petit moment avant d'hocher la tête doucement et d'esquisser un des plus minimes rictus sur son beau visage. Nous nous dirigeâmes vers le salon et je m'assis sur le canapé et tapotai la place à côté de moi pour lui montrer de s'asseoir à cet endroit.
Il vint s'asseoir et il planta son regard dans le mien.
- Hum je suis désolé d'avoir dit ça comme ça au mauvais moment, je... C'était p-
Je le coupais en pressant ma main sur ses lèvres, qui sont, en passant, incroyablement douces. Je ricanai un peu, non pas pour me moquer, mais il avait l'air tellement vulnérable, ça fait drôle. Toujours en souriant je dis :
- C'est bon Zayn, ne t'inquiète pas, pas besoin de t'excuser.
Il baissa un peu les yeux, signe qu'il était un peu gêné, mais je retirai ma main, et commençai à rigoler. Il releva les yeux vers moi, et esquissa un sourire, et l'approfondit. En passant, son sourire est craquant, il posait sa langue derrière ses dents et c'était la chose la plus magnifique du monde. Il céda et me rejoignit dans mon rire. Nous rîmes pendant de longues minutes, nous avions littéralement l'air de deux fous riant pour rien. On s'arrêta et Zayn prit la parole.
- Hum Beth est-ce tu... Tu as...
Il met des "hum" dans toutes ses phrases ou je rêve ?
- Ouais ?
- Je voulais savoir, tu... Tu ressens la même chose ? Ou... Un peu ?
Il était timide, et c'était mignon.
- Hum, je suppose que oui.
Autant dire la vérité. En plus, je reçus un autre sourire de Zayn qui illumina la journée.
VOUS LISEZ
The Opposite
Fiksi Penggemar«Les opposés s’attirent» Beth Donely, 22 ans, future reine du paradis, vit dans le monde des humains à San Francisco. Zayn Malik, 22 ans, futur roi des enfers, vit dans le monde des humains à San Francisco. Qu’arriverait-il si, accidentellement, ils...