Chapitre 1 : Enfances tragiques

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Harry Potter et les différents chemins de la magie :

Disclamer : Certains personnages proviennent de l'univers de J.K. Rowling, mais d'autres de mon imagination. Je serais pour certaines choses très fidèles aux œuvres et pour d'autres non.

Voilà voilà,

Sur ce, bonne lecture !

Chapitre 1 : Enfances tragiques :

        Ils étaient une fois, trois trolls, démons, méchants, goules, ogres, [...] ﹣ ou plutôt des êtres ressemblant physiquement à des humains ﹣ vivaient dans une horrible maison. Cette maison, malgré son apparence coquette et bien rangée, était remplie d'hypocrisie, de peur et d'égocentrisme. Y vivait Vernon Dursley qui était un homme peu commun, de petite taille et possédant un caractère aussi gros que tout le gras qui le constituait. Une description assez rêche mais plutôt réaliste. Une description, certes, qui pourrait paraître injuste, mais qui, lorsque l'on apercevait le bonhomme pour la première fois, ne paraissait que trop douce. Néanmoins, aussi surprenant soit-il, il avait une femme et un enfant.

        Il s'agissait d'une famille plutôt aisée. Ceci en partie dû au fait que Vernon était à la tête d'un célèbre magasin de perceuse. Pour cette raison sa femme était mère au foyer, chouchoutant plus qu'il ne le faudrait leur fils unique : Dudley. Ce fils avait lui aussi la même carrure que son père, mais ce n'était rien comparé à son caractère qui était au moins dix fois pire. A ceci on rajoute le fait qu'il était bête comme ses pieds et qu'il était traité comme un ange tombé sur terre. Alors que, pourtant, il se rapprochait plus d'un démon tombé sur la tête.

→ 4 Privet Drive, Little Whinging. Dix avant, soit le 30 Octobre 1981 :

        Un vieil homme avançait lentement, mais d'un pas vif, vers l'une des maisons du quartier. Sa barbe était longue, trèèèèèèès longue. Il portait une robe bleue ciel, ainsi que des lunettes en forme de demi-lune. Après quelques secondes de marche, il arriva à destination et s'assit sur un muret, faisant face à la maison. Cette dernière projetait une ombre gigantesque, dû aux lampadaires accoudés.

        Un grand chat gris s'approcha du vieil homme. Furtivement il bondit à ses côtés. Étonnamment, le vieillard ne sursauta pas et ne sembla pas un poil surpris. Bien au contraire, il se redressa et sourit. Lorsqu'il tourna la tête, il ne vit non pas un chat, mais une femme d'un certain âge qu'il connaissait bien. Encore une fois, il ne fut pas surpris. Contrairement à elle qui semblait dévastée, et porter tout le poids du monde sur ses épaules.

_ Professeur McGonagall. Il l'a salua d'un léger signe de tête. Je me doutais bien que vous viendriez.

Il lui sourit gaiement. Le contraste entre leurs deux expressions fut soudainement très marqué.

_ Bonsoir professeur Dumbledore. Répondit la métamorphe, d'une voix inquiète.

_ Vous connaissez les nouvelles je suppose ?

La grosse ride sur le front du professeur en disait long sur sa réponse.

_ Bien entendu. Quelle tragique histoire. Elle renifla, sa voix était grave et tremblante. James et Lily étaient si adorables, si attentionnés et si dévoués à leur fils. Déclara la professeure profondément peinée.

Elle connaissait trop bien ce charmant couple de sorciers défunts. En effet, autrefois les jeunes parents faisaient partie de ses élèves.

_ L'important est que Voldemort, lui, n'est plus. Affirma le vieux sorcier.

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