Chapitre 12

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Chapitre12


Comment ont-ils apprit ? Rage Alexei en attrapant un vase sur un commode et le balançant sur le mur d'en face.

Jene sursaute même pas. Bizarrement ça ne m'étonne même pas queAlexei soit ce genre de gars à casser les affaire quand il esténervé.

Vladimir peut être, avance un homme d'une cinquantaine d'année au cheveux courts.

Ce sont aussi ses ennemis, il ne ferait pas ça. C'est un homme beaucoup plus sournois que ça, relève Vitali.

Alexeis'arrête soudain de faire les cents pas et se tourne vers lebinoclard du groupe.

Dimitri, je veux que tu me retrouve ces deux enculés avec les vidéos du club. Mason, fait parler celui qui nous reste. Je veux qu'il soit encore utilisable, rien de trop dure. Vitali, retourne au club avec Sergueï, nettoyez moi tout le bordel.

Dimitri,le binoclard de l'avion, sort de la pièce en sortant un téléphone.Mason, l'homme de la cinquantaine qui a parlé tout à l'heure sortlui aussi de la salle. Je ne sais pas de qui ils parlent quand ilsdisent «celui qui reste» mais mon intuition me dit que c'est de mondeuxième agresseur. Sergueï est un homme de la trentaine, plutôtbeau, brun avec des habits de videur. Il échange quelques mots avecAlexei en russe et suivit de Vitali, sort. Il ne reste plus queAngel, Alexei et un homme mûre qui semble être assez proched'Alexei. Ils échangent des regards, des mots courts mais secomprennent parfaitement. Les deux autre sortent de la salle et on seretrouve tous les deux à nouveau.

Prépare tes affaires ce soir, demain matin on va en Italie. J'ai des affaires à voir là-bas mais avec les conditions actuelles, je vais avancer mes rendez-vous. Prends tout ce qu'il faut pour une semaine. Mina viendra te réveiller quand on partira, m'informe Alexei.

Ilme tourne le dos et sort son téléphone. Je reste muette destupéfaction. Quoi en Italie ? Comme ça ? Je me lève en retenantun gémissement de douleur et vais vers ma chambre. Juste avant dequitter la pièce, je jette un dernier regard au blond qui détournela tête. Je monte alors dans ma chambre. Une valise de taillemoyenne m'attends devant mon lit. Je me mets alors à prendre un peutout et n'importe quoi dans mon armoire. Je prends des maillots debain, de la lingerie, des hauts, des pulls, des robes de soirée...detout. Une trousse de toilette, des chaussures et je ferme la valise.Je vais ensuite me doucher. Je laisse échapper un râle de plaisirquand l'eau chaude me tombe dessus. J'y reste ce qu'il me semble desheures. Je n'en sors que lorsque je sens mes paupières tomber defatigue. Je vais ensuite dans mon lit sans m'habiller ou me sécher.Je m'endors tout de suite.



Réveille-toi ma belle, me murmure une voix douce.

J'ouvreun œil. Il fait encore nuit dehors. Mina me frotte le bras doucementen me souriant.

Lève toi, tu pars en Italie, me rappelle-t-elle.

Wouhou, je grommelle.

Elleri doucement et quitte ma chambre. Je me redresse et vois un pantalonnoir en tissu et un pull vert claire qui semble super doux. Je lesmets avec une culotte noire mais pas de soutif. Avant de quitte machambre je pense à quelque chose. Le ciseau que j'avais caché sousmon matelas, est-il encore là ? Avec toutes les risques que jeprends en étant retenue ici, il est normal qu'il me faille une arme.Je glisse ma main sous le matelas mais rien. Il a disparu. Comment ?Mina ? Elle serait allée fouiller ici ? J'abandonne et prends mavalise. En bas, Alexei, habillé d'un manteau noir et d'un habitueljeans chemise m'attends. Il est seul. Il écrit un texto sur sontéléphone.

Le mafieux et la belleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant