Oikawa x Reader

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NDA: Je n'assume pas du tout ce que j'ai écrit ✋😃 il y a sûrement des erreurs (bah en même temps j'écris ça la nuit), il va y avoir un léger lemon (du moins un début fin vous comprendrez) donc si tu n'es pas à l'aise avec les relations sexuelles, tu peux partir. Je suis responsable de ce que j'écris mais pas de ce que vous lisez. (mon rêve de dire ça bon Dieu)
Bre fje vais pas sortir tout le blabla sur le fait que c'est mon premier "lemon" et je dois avouer que je bloquais quelques fois bref
Évidemment, je ne suis pas une professionnelle. J'essaie juste de m'améliorer dans tous les types d'écritures donc il fallait que je teste un lemon (je sais même pas si je peux le qualifier comme tel)
Bref. Bon appétit ✋😃

_BON SANG, OIKAWA TOORU ! M'écriai-je, énervée.
Le concerné se tourna vers moi, encrant ses yeux bruns dans les miens.
_Oui, T/S-Chan ? Demanda Tooru d'une voix innocemment mieilleuse.
_Arrête de faire l'innocent. J'en ai assez que tu t'intéresse plus à tes fans incroyablement collantes et énervantes plutôt qu'à notre relation ! M'exclamais-je, mécontente. Encore aujourd'hui, une fille de ton fan club m'a verbalement agressée et à voulu en aller aux mains ! Bon sang ! Quand est-ce que ça va cesser ?!
Le châtain me regarda, déconcerté.
_Enfin... Ce n'est pas de ma faute... Tenta d'argumenter mon petit ami.

Je soupirai avant de partir, croisant les bras sur ma poitrine, montrant mon air boudeur. J'avais tous les droits d'en avoir assez: tous les jours des filles voulaient se battre avec moi ou même m'insulter avant de s'enfuir. Une fois, une fan a écrit sur le tableau de ma salle de cours  « TU NE SERAS JAMAIS ASSEZ BIEN POUR NOTRE OIKAWA ». À croire que leur vie se résumait au châtain, cela faisait presque pitié. Alors que je m'éloignai de Tooru pour aller aux toilettes des filles, décidée à ignorer le voleyeur pendant l'après-midi et peut-être même plus longtemps, un groupe de filles vint à ma rencontre. Une blonde de près d'un mètre soixante-dix au regard bleu et perçant et qui semblait être la responsable de ce ramassis de filles fit un pas vers moi, les poings sur les hanches.

_Tu ne mérites pas Oikawa, commença la charmante demoiselle, alo-
_Alors quoi ? La coupais-je d'une voix ferme. Tu vas faire quoi, toi et ta bande d'assistantes inutiles ?
_On va te déf- Tenta de continuer la blonde.
_Vous n'allez rien faire, évidemment. La coupais-je pour la seconde fois, un sourire malicieux aux lèvres.
_TU VAS M'ÉCOUTER SANS ME COUPER OUI ? Hurla la représentante du groupe, visiblement agacée.
_Non ? Me contentais-je de répondre, prenant plaisir à chercher les demoiselles. Écoute chérie, si t'es jalouse de moi, je n'y peux rien. Après tout, c'est normal; je suis magnifique, intelligente, drôle, un peu agaçante parfois. En gros je suis parfaite. Et le cliché dit qu'une perfection va avec l'erreur du siècle; dans ce cas Tooru. C'est donc parfait !

Avant que quiconque ne puisse répondre, je tourna les talons et sortis des toilettes, ennuyée par ce groupe de harpies folles. Décidément, être la petite amie de ce cher Tooru n'était pas facile tous les jours. J'allai en classe, entrai dans la salle en étant pile à l'heure et allai m'installer à ma place, ignorant les quelques regards noirs de certaines filles. Je n'allais pas faire fureur auprès de la gente féminine... Qu'importe, j'avais Tooru et c'était bien assez. Supporter son comportement soit trop enfantin soit trop sérieux en plus de devoir me coltiner ses fans prenait déjà trop de mon énergie. Je m'endormis en cours, ce qui me valu d'ailleurs une exclusion.

J'ignorai royalement -et c'était le cas de le dire- Tooru pendant une semaine. Autant avouer que ce n'était pas facile d'ignorer le  « grand roi » puisqu'il me suivait partout en tentant de me faire parler. Cependant, j'avais pu passer du bon temps en mettant une raclée vite fait au groupe créé par la blonde des toilettes: cela étant, j'avais rendez-vous chez le directeur pour discuter de cela... Je me dirigeais vers mon club quand une main prit possession de mon poignet, me retenant fermement. Je pensais avoir affaire à une autre fan voulant venger ses amies mais, quand je me retournai, je vis Tooru. Il semblait frustré et énervé en même temps, de là le but initial de mon plan.

Il ne prit pas la peine de dire quoi que ce soit et m'entraîna à sa suite dans le gymnase où il n'y avait pas un chat. J'avais oublié. Les volleyeurs allaient s'entraîner ailleurs aujourd'hui, leur bus allait partir d'ici un quart d'heure. Le châtain ne prononça pas un mot et me traîna jusqu'au local, là où étaient rangés ballons, matériel, et filets.

! HOP HOP HOP !
Un instant, s'il te plaît. À partir d'ici, commence un lemon. Si tu n'es pas à l'aise avec les relations sexuelles, je te conseille de partir.









Toujours ici ? Bonne citronnade !

Tooru me poussa à l'intérieur du local avant d'en fermer la porte, j'avais lâché un petit cri de surprise alors que je tombais sur les fesses. Le châtain avança vers moi d'un pas lent aux allures de prédateur alors que je restais au sol, comprenant petit à petit dans quoi j'allais être embarquée. Le capitaine de l'équipe de volley, enfin arrivé à mes côtés, me poussa afin de m'allonger au sol, encadrant ma tête de ses mains avant de plonger sur mes lèvres pour s'emparer de ces dernières. Une de ses main, curieuse de découvrir le corps qui s'offrait à elle, descendit de là où elle se trouvait pour caresser mon épaule et suivre le tracé de ma clavicule. Alors que la curieuse continuait son aventure, le jeune homme descendit son visage vers ma mâchoire, posant quelques baisers dessus.

« Fais-moi donc écouter le son de ta voix, ça fait une semaine que je ne l'entend pas et ça me rend triste... Oh et... J'espère que tu es prête parce que je ne vais pas te laisser jusqu'à ce que tu comprennes que mes fans ne valent rien comparées à toi.  »

Je déglutis. Ses douces lèvres continuèrent leur route vers mon épaule gauche, plaçant par-ci, par-là, quelques marques violacée prouvant que j'étais sienne. Enfin, il arriva à ma poitrine encore couverte par ma chemise ainsi que par mon soutien-gorge. Le jeune impatient ne perdit pas une seconde pour enlever le premier vêtement qui le gênait pendant son exploration. Il eut cependant un problème avec la seconde et dernière barrière. Je ris doucement avant de dégraffer ce dernier obstacle des plus difficiles à surmonter. Le châtain ne dit rien face à mon aisance pour retirer la création du Diable et posa, une fois de plus, quelques suçons sur cette zone tout juste découverte. Enfin, l'air malicieux, il prit en bouche mon sein gauche alors qu'il malmenait l'autre de sa main. L'impitoyable s'amusa à mordiller mon téton, se plaisant à écouter les petits gémissements qu'il m'arrachait malgré moi. Tooru cessa ses gestes pour délicatement descendre vers mon ventre, dessinant des petits cercles invisibles dessus. Avant qu'il ne puisse aller plus loin, j'inversai nos positions, me retrouvant au-dessus de lui. Je pouvais remarquer la frustration dans son regard mais n'y prêtais pas attention. J'enlevais doucement son t-shirt pour le faire languir d'impatience. Ce qui fonctionna puisque le volleyeur râla avant de retirer lui-même le vêtement. Je pouffa puis me pencha sur le torse du capitaine. Je fis glisser mon index le long des traits si bien dessinés de ses abdominaux. J'allai continuer sur ma lancée mais le châtain, prit d'impatience, reprit sa position initiale. Il ne réfléchit pas un instant avant de retirer ma jupe en même temps que mes collants, carressant mes jambes avant de remonter ses mains le long de mes cuisses. Tooru passa ses longs doigts au-dessus du tissu qui couvrait la dernière zone encore inexplorée. Il ne se fit pas prier et retira ma culotte rapidement. Il posa son regard enflammé sur moi un instant avant de poser chacune de ses mains sur mes cuisses et de plonger de manière à ce que je ne vois plus qu'une partie de sa tête. Je pouvais ressentir son souffle sur mon intimité avant qu'il n'y introduise sa langue. Je poussa un cri de surprise avant de savourer les nouvelles sensations qui s'offraient à moi. C'est alors que, à la plus grande surprise de mon petit ami et moi, Iwaizumi entra en trombe.

« T'es là Shittykawa ?? Je te rappelle qu'on doit partir pour l'entraî- »

Le brun ne finit pas sa phrase, surpris d'avoir interrompu un moment comme celui-ci. Tooru, qui avait relevait la tête, gardait sa bouche ouverte d'étonnement, laissant voir un peu de liquide le long de ses lèvres. Iwaizumi, n'ayant pas lâcher la poignée se retourna.

« Navré de vous interrompre mais on doit partir, Oikawa.  »

Et il sortit en claquant la porte derrière lui.

Manga/anime/jeu x reader //tome 2//Où les histoires vivent. Découvrez maintenant