Histoires tristes

Une Petite Fille Partie 2

Dans la nuit, je me réveille dans un cri après avoir fait un énième cauchemar.

Antoine se réveille et il me prend dans ses bras.

Antoine : Qu'est ce qu'il y a ?(demande t-il doucement)

Catherine : Rien, c'est juste un cauchemar.

Antoine : Ça avait l'air sérieux.

Catherine : T'inquiètes pas pour ça.

Antoine : Je devrais, Dimitri était bizarre au repas quand tu étais parti au parti aux toilettes.

Catherine : Comment ça, bizarre ?

Antoine : Il a dit qu'une fille du nom de Sarah voulait le tuer et il avait l'air indifférent.

Catherine : Sarah, encore cette gamine. Elle ne nous laissera pas tranquille tant qu'on ne quitte pas sa maison.

Antoine : Quoi ?

Catherine : Il faut absolument que je trouve ces trois journaux intimes.

Antoine : De quoi, tu parles ?

Je me lève du lit, et je sors de ma chambre pour aller à la chambre d'amis avec Antoine.

Je prends les 3 livres, je m'assois sur le lit et Antoine fait de même.

Antoine : Qu'est ce qu'il se passe ici...?

Catherine : Quoi ?

Antoine regarde vers la porte, je me retourne et je vois Sarah nous regardez.

Sarah : Nous avons pris votre fils.

Catherine : Non !

Au moment où je cours vers elle, la porte se ferme. J'essaie de l'ouvrir mais elle est fermée.

Antoine se lève et il vient m'aider mais rien n'y fait, on est enfermer ici.

Catherine : Comment on va faire ?

Antoine : Est ce que j'ai droit à une explication ?

Catherine : Oui, depuis notre arrivée dans cette maison il se passe des choses étranges.

Antoine : Comme quoi ?

Catherine : Le propriétaire nous a formellement interdit d'aller dans la cave. Le même jour, j'ai fait un rêve sur cette petite fille que tu viens de voir.

Antoine : Et ?

Catherine : Elle me disait qu'on a rien à faire chez elle.

Antoine : Quel est le rapport avec l'interdiction d'aller dans la cave ?

Catherine : Il y a 8 ans, l'ancien propriétaire Steve et sa femme ont emménagé dans cette maison avec leur fille.

Antoine : Tu veux dire que la petite, c'est la fillette qu'on vient de voir ?

Catherine : Oui, il y a sa tombe à la cave.

Antoine : C'est impossible.

Catherine : C'est que je me disais avant mais je ne sais plus, ça fait des mois que je fais des insomnies.

Antoine : Pourquoi tu ne me l'as pas dit avant ?

Catherine : Je voulais pas t'inquiéter, puis tu étais au travail.

Antoine : Ma famille est plus importante que mon travail.

Catherine : Il faut qu'on trouve une solution pour sortir d'ici.