Le serpent de mon coeur

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Corneille aux plumes de colombes, ma souris aussi avide que le serpent. Tel es celui qui a mon coeur. Forcer tous les jours à le combattre pour affiner mes tactiques. J'ai sentit son dernier souffle chaud dans mon cou, alors que mes larmes pluvieuses tombais dans la marre de sang. Nos sang se mélangeait aussi bien que nos cœurs et nos blessures coulais plus que les ruisseaux. Mon frère m'a promis qu'un jour on n'aurait pus a ce battre, mais celui qui promet sur la Lune changeante est bien déloyale dans sa promesse. C'était la nuit fatale, le combat avec mon bien-aimée de prison, notre dernier combat avant que l'un de nous y laisserais la vie. Au bout de plusieurs heures de combat qui on traverser toute la météo. Mon amour resta à terre, épuisée de me combattre.

« J'en peu plus..achève moi..» dis-t-il essoufflé de me combattre à la déloyale. Me regardant de ses yeux émeraude, mon cœur battais comme un tambour d'angoisse et d'admiration de sa beauté qui m'avais séduite. Cette nuit-là, la Pluie frappais sur les murs de metal, le tonnerre grondais de tous ses poumons on aurais dit la mélodie du diable. J'entendais les gradins des acheteurs hurler de leur poumons pour que j'achève cette danse. Le vide m'entourais est autour de et ma chair et pourrie, le monstre à présent ne se tenais pas dans les gradins à crier au meurtre, mais c'était moi face à mon amour. Des souvenirs de nos jours derrière nos murs froids, la gentillesses me glisser une orange quand je revenais de mes combats mortes de la fatigue et de mes expériences. Nos cœurs se sont entremêler et serrer lorsqu'on se combattait. Je pleurais froidement, j'ai figer en le voyant à terre me demandant cette faveur. Je l'ai vu se lever de ses faibles forces et s'approcher de moi, il me pris doucement dans ses bras. La chaleur de ses écailles serra mon cœur et je me mis à pleurer à chaude larme sur son torse mais il souriait et me souffla ses mots qui on résonner en moi, plus fort que le tonnerre et le tambour des juges. Ceux qui juges la mort et la vie n'ont que le mensonge à la bouche.

-« Je t'aime et tu as mon cœur, ma rose noir... » A cette instant il planta ma dague d'or dans ses poumons en tenant ma mains chaude. Il tombât sur le sol, je fût glacer et bouleversé par cette vision je fût vendu. Je tombait de souffrance et on m'endormis pour mon acheteur, la pluie tombais sur ma carcasse vide. Épuisée depuis des lunes, je continue de me battre. Courir et courir et ma survie. J'ai été maudite alors il faut laisser tomber.

l'enfer sur terreWhere stories live. Discover now