Réveillée d'un coma de deux jours, mes gardiens on décider de me nourrir. Un verre de glace remplis d'une substance rouge écarlate et d'un morceau d'un animal. J'ai strictement aucune idée de quelle parti et encore moins de quelle personne. Hélas, ce sera mon seul repas. Avalant difficilement le liquide rougeâtre, je décida de me dévorer la viande en putréfaction. L'odeur de chair me tue, mais le goût âcre du sang me régale. Mes cordes vocales de retour à la normal, son sauvée du couteau de mes bourreaux.
***
J'ai envie de mourir, cette douleur insupportable et l'incapacité de parler, me tue. Un homme en noir entre et me crie de me lever. Difficilement, j'obéis, sachant ma punition si non. Mes gardiens, m'enchaîne comme une bête, me torturant tout le corps de ces lourdes chaînes. J'avance dans les nombreux corridors blanc, pour finalement arriver à une petite pièce de béton n'ayant que pour décoration des marre de sang dans chaque recoins. L'odeur me rendis folle, je perdait déjà mes moyens. L'homme en noir me déchaîna dans ce tombeau. Je crie et je grogne. Il ferma la porte et pris place près de mes bourreaux, protégés derrière cet vitre pourtant si fragile.-LAISSER MOI SORTIR! Je hurle et je crie, l'odeur me rend folle d'envie...Je veut briser cette mince couche de sécurité qu'il on. D'un hurlement grinçant la porte s'ouvrir laissant passer un homme chétif et vieillissant. Il venais de me le donner en sacrifice.
-NON! SORTEZ MOI!! Je...JE VEUT PAS MOURRIR!! J'ai envie de hurler comme lui, mais le désir brûla mon âme tels un brasier.
L'homme supplia de le faire sortir en constatant son triste destin, paniquer à m'a vue et au monstre devant lui.
Soudain une voix grave et familière il prononça ces deux phrase dans le mega phone:-« Ta mère te regarde, pris de pitier, elle appelle ton père. Apaise sa colère avant t'a prière » en me montrant l'image ignoble de LUI, cet être sans âme et au proportion horriblement familière.
Je me mis à hurler, crier, grogner et un drôle de rugissement déglutissant de ma gorge annonçais la fin d'un homme innocent. Quelque chose remonta de ma gorge, ma mâchoire du bas se sépara en deux. Laissant place a un étrange serpent noir dégoulinant de sang jaillis de ma gorge. Il es accrocher à ma voix. Je sentais la douleur de mon corps, mon sang brûlais dans mes veine. Ma peau déchirais de toutes ses coutures, mes yeux deviennent sans âme et Mes jambes avances vers ce triste festin. Le hurlement déchirer de l'homme fut la dernière chose que j'entendais. A chaque morsure, la peau déchirais, ses vieux os cassais et son sang vieillissant me remplis de joie sans le vouloir. Puis Le noir...
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l'enfer sur terre
ActionUn rêve ou un cauchemar? La question ce pose pour notre héroïne Mayshata qui surmonte nombre de demon infliger par sa famille, les hommes en noir. Quelle douleur, qu'elle souffrance, ou va se trouver la fin à ses rêve tragique?