La réalité cauchemardesque

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La nuit es fraîche, le ciel dégager et dévoile un noir profond éclairé par des étoiles. J'arpente les rues sous les étoiles qui m'observe. Des milliers de yeux qui m'observent. A chaque, chemin croisé c'est la délicieuse odeur du sang et la chaire qui monte et me fait perdre la tête. Un bruit de pas particulier attire mes oreilles, elles me suivent. Je tourne la rue la plus sombre et elles me suivent, je m'arrête au bout de la ruelle et j'attend la mystérieuse silhouette qui m'es étrangement familière qui me glace le sang.

Sous les néons clignotants, d'une porte menant à un bar miteux. Se dessine une silhouette, tenant une cigarette à moitier morte, aux épaules large, un long manteau noir et un feutre large poser sur sa tête. Croiser son regard fait tourner mon sang à la glace, mon coeur tressaille dans ma poitrine et l'envie de mordre sa chaire augmente à vitesse grand V. Il s'approche d'un pas lourd, sa voix résonne déjà dans ma tête me tourmentant. Son visage se fait éclairer par le vieux néon. Mon coeur s'arrête, l'homme noir qui hante mes cauchemars et sans cesse me prend la vie en jouant la mort. Le sang bouillant de haine, il ouvre sa bouche au dent éclatant grâce à la faible lueur de lumière...

-Tu vas mourrir ce soir, par le sang que tu as pris. La rose noir ensanglantée mourra ce soir.

De son regard infernal, m'incite à lui saute à la gorge, le sang ecarlate et la chair tendu par les cris de douleur, éclabousse dans tout les sens. Pour la première fois, les cris cassant le silence me font froid dans le dos, la délicieuse chair goute l'amertume et l'angoisse. La peur me prend les tripes et me force à m'éloigner de cette homme maudit. Je cours sans regarder derrière en entendant les cris qui dévoile mon nom de mort. Me hurlant une malediction de mort que j'attend depuis si longtemps. D'une douleur éclaire dans la nuque, me fait perdre toute realiter et me plonge dans le noir absolu. Je m'entent plus rien, je ne voit plus rien, je ne touche plus rien...Quelques minutes plus tard, je me réveille, on m'a ramener en enfer, cette sombre pièce a l'odeur pustulant et au décoration macabre de décomposition de mes derniers repas. Cette chair particulière me fait remonter la culpabilité de mes actes et le cauchemar était réalité..cet homme au teint blanc, aux lèvres gercées dévoilant des yeux infernaux des enfers, dévoile l'homme de mes cauchemars, l'homme en noir...

l'enfer sur terreWhere stories live. Discover now