Depuis mon plus jeune âge, je ressens cette émotion particulière, une colère qui me nourrit depuis si longtemps. Mon frère s'en nourrit et elle m'aide à ne plus me souvenir de la tete de mes victimes.Six jours, six jours se sont écouler depuis ma douce sortie. Si je leur demande, me répondraient ils froidement d'arrêter de compter? La culpabilité, un cris sans cesse s'ajoute à la précédente, c'est la seule chose qui me rappelle que je suis en vie. Meme si plus que tout, je voulais disparaître...être morte.
Six jours, je répète amèrement ces deux mots en boucle dans ma tête entre les cris et les pleurs jusqu'à ce qu'ils perdent toutes signification. Ces mots vides de sens échouaient à interrompre le flot de culpabilité de ceux que j'avait tuer. Provocant dans ma poitrine une douleur qui ne voulait tout simplement pas s'arrêter. Une douleur pire que ce que m'inflige les hommes en noirs. J'ignore pourquoi ils m'ont marquer de la manière la plus intime qui soit. Ils m'ont taillader le dos ainsi montrant que je leur appartenais, que je devais faire ce qu'ils me disait..qu'il me possède comme un vulgaire jouet à un enfant. A chaque jours, il vienne pour me marquer, six jours se sont écouler. En six jours ma haine a grossit, six vulgaire jours on suffit à me brûler de colère. Six jour d'amour et de douleur se sont écouler, m'aiment ils Ou me haïssent ils? Je ne saurait faire la différence, mais je sais que je leur appartient de plus en plus, mon intimité a été marquer. Plus les jours passait et plus il devenait fou à me posséder, me prendre ma naïveté était pour lui un jeu de pouvoir. Un trésor d'une grande valeur, plus que l'or me répétait il. J'attend le septième jour avec impatience, car je sens que je n'y survivrais pas, je sourit de la plus belle des façons car je me dit que les voix s'éteignent et que la culpabilité s'envolera. La douleur poignante dans mon dos disparaîtra, mais en même temps je suis réaliste. Je sens une colère noir m'allumer et m'obliger à me lever et les foudroyer du regards. Me gardant en vie, je veut leur enlever le plaisir de me posséder. Je veut qu'il meurt, même si c'est mon frère, il ne mérite pas de vivre et encore moins de me posséder. La culpabilité et les cris se sont éteints, laissant place à une vulgaire petite questions qui tourne maintenant en boucle et qui eux ne perde pas de sens.
« Il me garde en vie, pourquoi? »
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l'enfer sur terre
ActionUn rêve ou un cauchemar? La question ce pose pour notre héroïne Mayshata qui surmonte nombre de demon infliger par sa famille, les hommes en noir. Quelle douleur, qu'elle souffrance, ou va se trouver la fin à ses rêve tragique?