La nuit rouge

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C'est la nuit, la fameuse nuit que j'attendait. J'en suis tellement exciter que n'importe quel odeur me fait perdre la raison. Déambulant parmi les humains, je l'es regard avec attention. Ils ont l'air si frêle, si petit et sans défense. Ricanant en marchant, leurs regards se tourne vers moi. Ils n'on aucune idée de mon corps maudit! Souriant de dégoût pour leur égard je chercher du regard mon ange, ma cible, celle qui dois mourrir quand je l'aurais décider. Je me sens tellement vivante!

Je suis la mort. J'aime ce sentiment, il me tue mais me rend tellement vivante. Leurs regards sont si insignifiants, si dégoûtant, je sens le poids de leur jugements. Pendant un instant je tourne la tete vers une ruelle sombre, me donnant envie d'y sauter à pied joint dans cette douce noirceur. Je m'apprête à repartir quand un cri strident en sort, par curiosité je vais voir d'où vient ce cri de faiblesse. Je marcher quelque instant dans une noirceur et j'y voit 3 silhouettes se dessiner petit à petit.

Deux hommes agresse une pauvre femme refaite de plastique, je l'a regarde se débattre sans bouger. Les deux hommes possède le plus beau des sourires, ca se voit qu'ils apprécient ce moment de plaisir. La femme me voit, elle m'appelle au secours...tout ce que je fait, tout ce que je ressent sais la joie de voir quelqu'un être torturer. Les cris de cette pauvre femme me donne envie de la faire taire. L'un des hommes me regarde et me parle, mais je n'y prête guère attention, jusqu'au moment où il s'approche de moi pour me pousser.

-« TU N'AS PAS COMPRIS?! VA-T-EN! »Il me hurle dessus et me pousse. Je m'approche de lui et le met dans le mur, sa chair a l'air délicieux. Je m'approche et lui arrache un cri de douleur. Je me tourne vers le deuxième alors que le premier pleure de souffrance, me traitant de tous les noms possibles. Je ne peut m'empêcher de dévorer le deuxième et de le dévorer sans remord et sans peine. La peau déchirer et les os casser me donne des frissons à chaques cris de douleur. Quand j'ai fini mon affaire je part en laissant la femme pleurer de peur et de souffrance, me hurlant dessus. Je m'approche finalement d'elle et met mes mains autours de sa gorge. Étouffant petit à petit son cri, je voit dans ses yeux la désolation et la peur. Je part finalement de cette ruelle sombre pour rejoindre le peuple. Je marche en souriant et ricanant de mes exploits.
Cette nuit...je suis la mort en personne!

l'enfer sur terreWhere stories live. Discover now