L'attirance en permanence (Aizawa x reader)

Chapitre 14 : ~ nuit mouvementée ~ {4}

Hello ! N'oubliez pas le petit côté si le chapitre vous plaît merci d'avance :)

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Rappel :

Je me sens peu à peu perdre conscience de moi même, je suis dans le noir, la partie obscure de mon être.

Un peu plus loin, un coin est légèrement éliminé, comme s'il fallait que j'aille voir.
Je me dirige donc d'un pas rapide, je me sens attirer, je peux pas aller contre. Même avec ce mauvais pressentiment, je me dirige vers cette endroit.

Je vois un cage énorme, ses grandes barres métalliques, mes yeux se promènent de droite à gauche, de haut en bas, c'est là que je la vois.
La porte est ouverte :
La bête est sortie.

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Pdv Aisawa :

On était de moins en moins nombreux, les héros présent tombaient comme des mouches.

C'est quoi ce vilain sérieux ?
Le pire c'est qu'il est impossible d'avoir une quelconque discussion avec lui, on dirait qu'il n'a pas de conscience.

Je suis dans un sale état, j'ai quelques côtes cassées, des coupures un peu partout. Mais contrairement aux autres je penses m'en sortir plutôt bien.
On est à bout de souffle, et attendons patiemment la venue d'un Héros plus aptes à vaincre cette puissance sur pâte !

Des messagés sont partis prévenir l'agence Endeavor, qui n'est pas très loin d'ici, en espérant qu'ils arrivent rapidement.
Notre but maintenant c'est de le retenir jusqu'à leur arrivé, en minimisant les dégâts sur les bâtiments, ou bien les rues.
Même si.. c'est déjà bien détruit...

On ne cherche plus à le combattre, c'est s'épuiser pour rien, son alter de guérison est trop rapide.
Avec sa force surhumaine il a détruit toutes les tentatives de l'enfermer.

Ça fait un moment que je n'ai pas vu la civile, celle avec le masque.
C'est un civil, même si elle joue avec le feu, j'espère qu'il ne lui est rien arrivé, et surtout qu'elle est partie, ce n'est pas son boulot.
Même si j'avoue que l'ayant vu se battre plus tôt, je commence à me demande si c'est vraiment qu'une simple civil.

Un héros à côté de moi allait se prendre un sale coup, je me dépêche d'envoyer mon écharpe vers lui, et le ramener vers moi afin qu'il ne morfle pas.
S'il faut nous sauver entre héros maintenant..

Il me remercie en inclinant sa tête et repart aussitôt à la charge.
D'un coup, mon côté droit me lance, j'avais réussi à faire abstraction de la douleur depuis tout à l'heure, mais avec les efforts accumulé c'est de plus en plus compliqué.

Malheureusement pour moi ce petit moment d'inattention risque de me coûter cher, le vilain avance son poing dans ma direction.
Il est rapide, je ne peux pas l'esquiver il est trop tard.

Alors que j'allais essayer d'amortir le choc en placent mes bars en croix en face de moi, comme une sorte de bouclier.
Quelques secondes passent sans que le coup ne vienne.

C'est alors que je relève la tête.
La femme de tout à l'heure est de dos.
Sa chevelure vole au gré du vent, ses vêtements sont recouverts de crasse, un mélange de sang et de poussière.
Sa posture est droite et affirmée.

Elle vient d'arrêter le coup d'une seule main. Celle-ci est trois voir quatre fois plus petite que celle du criminel. Cela n'empêche pas qu'elle agrippe avec argne celle du molosse.

Le vilain semble essayer de se dégager de son emprise. J'ai bien dit essayer.
D'un coup de bras, elle envoie valser le monstrueux adversaire dans les décombres.