OS La Casa de Papel

Van Morrison

Ça y est. Ils sentaient le Tsunami avec un grand T approcher. Rio s'était fait attraper, Tokyo était chez eux depuis maintenant quelques jours et la bande devait arriver le lendemain. L'ambiance ne s'était pas améliorée entre les deux lionnes de la maison, surtout après le départ de Paula et Marivì. Lisbonne avait beau essayer de mettre de l'eau dans son vin et d'être courtoise avec Tokyo, ne serait-ce pour Sergio, Tokyo, elle, restait infernale avec elle, ce qui avait mené à de nombreuses engueulades....

Flash back, la veille au souper.

Lisbonne: À table!

Professeur: Tu aurais dû me dire que tu préparais le souper, je serais venu t'aider

Lisbonne: Je voulais pas te déranger, tu avais l'air occupé...

Le Professeur s'approcha d'elle et lui chuchota à l'oreille un petit « Merci Inspectrice », ce qui amusa beaucoup cette dernière.

Tokyo: Ah, c'est pour ça que tu l'as fout pas à la porte, c'est parce que tu dois plus cuisiner....

Professeur: Tokyo.

Lisbonne: Tu sais Tokyo, on a prit l'habitude de cuisiner ensemble, comme ça on passe de beaux moments...

Tokyo: Alors tu sers juste à libérer ses pulsions? Je comprends mieux.

Professeur: TOKYO.

Lisbonne: J'aimerais que tu sois capable de voir la vérité en face et que tu cesses de me rétrograder comme simple objet.

Tokyo: Mais c'est ce que t'es! Un putain de jouet! UN PUTAIN DE PANTIN

Sergio: Tokyo je vais te demander de baisser le ton.

Tokyo: JE SUIS UNE DES BRAQUEUSES LES PLUS RECHERCHÉES DE LA PLANÈTE, JE SUIS AVEC UNE FLIC QUI T'AS EMBOBINÉ ET TU ME DEMANDES DE BAISSER LE TON?!?

Professeur: TOKYO.

Tokyo: VOUS VOYEZ PAS QUE C'EST UNE PUTAIN DE TRAITE? ELLE S'EN FOUT DE VOUS TOUT CE QU'ELLE VEUT C'EST VOTRE ARGENT PUIS TOUS NOUS LIVRER À LA POLICE.

Professeur: TOKYO!

Tokyo: QUOI!?

Professeur: PARLE MIEUX DE LISBONNE S'IL TE PLAÎT

Tokyo: HORS DE QUESTION QUE JE FRATERNISE AVEC UNE TELLE PÉTASSE.

Professeur: Sort.

Tokyo: Quoi?

Professeur: SORT.

Tokyo se leva brutalement et partis vers sa chambre, laissant les deux tourtereaux seuls. Lisbonne se mordit la lèvre et baissa la tête.

Lisbonne: Sergio....?

Sergio se rapprocha et prit le visage de sa bien-aimée entre ses mains, lui levant délicatement la tête pour la regarder dans les yeux.

Sergio: Oui Raquel?

Lisbonne: Tu sais que c'est faux tout ce qu'a dit Tokyo... Tu sais que je suis là par amour, hein?

Sergio fixa sa compagne avant de la prendre dans ses bras, gardant une main sur la tête de sa compagne, lui caressant doucement les cheveux.

Sergio: Évidemment, évidemment que je ne crois pas en un mot de ce que raconte Tokyo. Et tu ne dois pas y croire toi non plus, d'accord? Tu n'es pas un pantin, tu n'es pas un jouet et... et tu es ici parce que... parce que.....