bonus deux - le transfert ✔️

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Paris, 18 mai 2021, Mila Deschamps.

La joie explosait dans l'appartement alors que mon paternel venait d'annoncer la liste des vingt-six sélectionnés à l'euro.
J'immortalisais ce moment hors temps en photo.

Le sourire aux lèvres, Benjamin me prit à part et m'emmena dans notre chambre. La musique tambourinait à la porte, j'entendais les cris de Presnel, sous les rires de Lucas et les plaintes de Kylian. L'appréhension se lisait dans ses yeux.

« Benjamin : J'ai eu une proposition de transfert pour la saison à venir. M'avoua-t-il.

Étonnée.

Mila : Tu m'as l'air intéressé ? Soulignais-je. Pourtant tu as réalisé ton rêve en intégrant le club bavarois.

Benjamin : J'ai tout gagné en Allemagne. C'est la meilleure équipe au monde. Je me sens bien, je m'entends avec tous les joueurs. Il n'y a pas de problème. Mais, il marque un temps d'arrêt, je crois avoir besoin de grands changements. Il aborda un sourire. Je crois avoir trouvé la meilleure des opportunités qui pouvait s'offrir à moi.

Mila : Alors pourquoi tu n'officialises pas avec ce club ? Demandais-je surprise.

Benjamin : Je voulais connaître ton avis avant de m'engager. J'envisagerais le - Je le coupais avant qu'il ne finisse.

Mila : Je serais toujours dernière toi à te soutenir bouclettes, je crois en toi, plus que quiconque. Je lui souriais de toutes mes dents, exerçant une pression sur sa main. Si tu penses que t'as besoin de changements alors fonces, ne te retournes pas.

Benjamin : Je ne pouvais pas trouver meilleure copine au monde. Me complimenta-t-il.

Mila : Je suis parfaite, ne l'oublie pas. Ironisais-je.

Il ria.

Benjamin : Tu ne veux pas savoir où j'envisage aller ?

Je riais à mon tour, oubliant l'information primordiale.

Mila : Suis-je bête ? Bien sûr que oui ! M'exclamais-je.

Benjamin : Je confirme. Je le tapa à la main. Aïe !

Mila : Pauvre bichette, tu veux un bisous ?

Benjamin : Avec plaisir...et bien plus. Chuchota-t-il provocateur.

Mila : Tu m'exaspères petit pervers.

Benjamin : C'est pas toi tout à l'heure que j'ai surprise, alors que je me changeais, à lorgner sur mes abdos. Dit-il, sourire aux lèvres.

Mila : C'est pas de ma faute si ça donne envie. T'es bien foutu j'en profite, je suis ta copine, je suis dans tous mes droits. J'effleurais ses abdos de mes doigts. Ma propriété.

Benjamin : Et après c'est moi que tu traites de pervers, darling. Insinua-t-il. »

Il m'adressa un clin d'œil. Ce surnom m'envoya des papillons dans le ventre, douce torture. Il s'approcha encore plus de moi, plus qu'il ne l'était déjà, avant que je ne presse mes lèvres contre les siennes, il les mordaient doucement, tendrement, me piquant, me portant, dans ce flous d'émotions. Je passais ma main alors derrière sa nuque, puis dans ses bouclettes brunes, que je tirais, intensifiant le baiser. Il devient alors plus, ardent, nos langues s'entremêlent. A notre plus grand plaisir.

Des tambourinements nous interrompent. Sensation de déjà vu. Trois parisiens entrèrent, les deux champions du monde français, Presnel et Kylian. Ainsi que Neymar venu fêter la sélection de ses amis à l'euro. Le brésilien a un très grand cœur, j'ai de suite accroché, il n'est rien des critiques qu'on lui fait. Il a les pieds sur terre et a de suite pris l'initiative de me faire la visite du parc des princes et du Camp des Loges, la communication fut facile, parlant portugais couramment. Mais au delà des clichés sur son français, il s'exprime étonnamment bien. Il mixte entre l'anglais, le portugais, le français et l'espagnol, mais préfère rester dans sa langue natale devant les journalistes pour ne pas être moquer. Pourtant il n'a pas à rougir de son niveau.

« Kylian : On s'inquiétait. On vous voyez plus depuis dix minutes. Dit-il avec un sourire innocent.

Je roulais des yeux.

Neymar : Kylian le menteur. Ria le brésilien.

Presnel : Chut Ney' tu nous grilles. Chuchota le défenseur se voulant discret.

Kylian : Alors tu lui as dit ? Demanda le benjamin.

Je fronçais les sourcils.

Mila : Il ne m'a strictement rien dit, tu me caches des choses bouclettes. Suspicieuse, avec un sourire amusée.

Benjamin : Si tu ne m'avais pas sauté dessus, je -

Je plaquais mes mains contre sa bouche, les joues rouges.

Neymar : Meu Deus Mila. S'exclama-t-il rieur.

Je levais les yeux au ciel.

Benjamin : Mila, il emprunta un ton sérieux mais à la fois surexcité, je détournais mes yeux de Neymar vers mon copain. Je rejoins le PSG à la saison prochaine ! »

Mes yeux s'illuminèrent, les larmes de joie montées tandis que les garçons criaient dans nos oreilles.

Nous allions être enfin réunis.

Important

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Important.

Touchons du bois !

❁ Si tout va bien, Benji devrait être sélectionné en équipe de France pour l'Euro ! Tout comme Presnel, Kylian, Lucas et Kingsley, je ne leur souhaite que ça, ils ont fait des saisons merveilleuses. Je me demande si Corentin sera sélectionné, revenant d'un grosse blessure... Hâtes de découvrir la liste !

❁ Je suis arrivée au dixième chapitre de la réécriture. Si vous le souhaitez, vous pouvez aller relire le chapitre neuf. J'ai rajouté un passage sur la fameuse nuit de l'extincteur. J'en ferais sûrement un chapitre. Dans le 9, on découvre les aveux d'Adil et la blague de DD (inventée). Je me suis inspirée des éléments relatés par Adil, les joueurs et Deschamps. J'espère que ça va vous plaire ! Vous pouvez réagir dans le neuf, si vous le souhaitez ! ❤️

Merci de lire encore aujourd'hui mon histoire, Camille ❤️

photographe | pavard Où les histoires vivent. Découvrez maintenant