Chapitre 18 - Regrets

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Il l'avait trahis ! C'était évident venant de la part d'un traite de son sang. Alors qu'elle avait libérée tout les esclaves, Haytham n'avait même pas crier garde pour disparaître et laisser l'armé de sentinelles aux trousse de l'Assassin.

Ellie maudit ce chien de Templier. Mais souris en y repensant, elle devait bien se l'admettre. Ce fus une manœuvre très habille de ça part. Haytham avait réussi sa petite vengeance sans même se salir les mains. Et Ellie n'était pas passée loin de la catastrophe pour ce dépêtrer d'une tel course poursuite. Les soldats Anglais étaient coriaces, surtout à New York, et elle du user de ses talents d'acrobates pour les semer à travers les ruelles étroites.

Mais désormais elle était revenu seine et sauve au bureau des Assassins. Elle c'était directement réfugier dans sa chambre pour penser une blessure à la jambe après s'être prise une balle perdu.

Une fois soigner elle ce dévêtis de ses armes et de sa veste avant de ce laisser tomber sur son lit, les bras derrière la tête.

Elle ressassa les dernières informations qu'elle avait obtenu au manoir. Elle savait désormais que les Templiers n'étaient pas derrière cette sinistre affaire de vente d'esclaves, mais la présence de ce maraud d'Haytham Kenway à New York ne la rassurais pas pour autant. Lui, à la tête de l'Ordre Colonial des Templier, résonnait comme une vaste blague aux oreilles de la jeune femme. Presque deux ans plus tôt elle l'avait croisé en Arctique, alors qu'il n'était encore qu'un simple serviteur de la cause des Templiers. Tout comme elle qui était devenu à son tour un Maître Assassin, aujourd'hui les choses avaient rapidement changer. Les deux camps bien qu'opposés, évoluaient similairement.

Elle se tourna sur sa couche et ferma les yeux pour mieux réfléchir.

Enfin, elle n'avait pas retrouver la trace du Colonel Monro, cette piste semblait ne déboucher nul part. Pourtant quelqu'un semblait vouloir envoyer un message aux Assassins... Ce n'était pas un Templier. Impossible, rien ne collait.

Ellie ouvris instantanément les yeux. La Confrérie ce serait-elle fait un nouvel ennemi ? Qui ? Et pourquoi ?

La jeune femme se redressa en position assis et baissa les yeux sur ses mains. C'était décidé, elle allait ce montrer en plein jour. Il n'était pas coutume pour les Assassins d'agir ainsi, mais elle avait un plan derrière la tête.

Si cet inconnu en voulait aux Assassins, alors les Assassins sortiraient de l'ombre près à l'accueillir en pleine lumière. S'il le faut.

Elle s'empressa se sortir de son lit pour s'installer à son petit bureau, elle alluma un cierge et attrapa un morceau de parchemin et une plume.

D'une écriture aristocrate elle signifia quelques mots à la destination de Achilles, pour lui expliquer l'avancement de sa missions et ces aboutissements.

Si son plan fonctionnait, alors bientôt elle tiendrais entre ces filets, le coupable du meurtre du chef de gang. Mais pour ça elle allait avoir besoin de l'aide de la seule personne capable de produire une quantité de poison assez considérable : Hope Jensen.

Une fois fait, elle rangea la lettre dans une de ses sacoche et décida de descendre au rez de chaussée.

Là, une chaleur étouffante balaya son visage et une délicieuse odeur chatouilla ses narines. Silencieusement, elle s'assit sur un petit tabouret de bois près du bar, observant minutieusement une vieille femme donner mille et un ordres à un jeune enfant, occuper à servir les clients. Elle se pencha par dessus le rebord et lui commanda un verre de Whisky, puis son regard balaya la grande salle pour ce poser sur son ami le barde, occupé à jouer de sa mandoline.

Elle se demanda l'espace d'un instant si tout ceci aurait eu un autre sens si elle n'avait jamais été un Assassin ? Aurait-elle un jour mis les pieds dans ce bar ? Serait-elle même venu à New York au moins une fois dans sa vie ?

Assassin's Creed Rogue : The RenegadeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant