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Chapitre 20

PDV NASSIMA 

Cliente : alors, aujourd'hui, je vais prendre des cornes de gazelles s'il vous plaît 

Moi : oh ! Sa change de d'habitude Madame Vaamonde ! 

Cliente : mon mari a eu envie de changement 

Moi : je vois sa 

Je me dirige vers le présentoir a gâteau, et met en sachet une dizaine de cornes de gazelles, que je tends ensuite à la femme, en l'encaissant, et en finissant par lui souhaiter une bonne journée. 

Aicha : ta matinée est terminé Nassima, tu peux rentrer chez toi 

J'essuie mes mains sur le tablier, avant de le retirer dans l'emplacement des vestiaires, et de récupérer mes affaires et celle de ma fille, loger dans les bras d'Aicha ses éclats de rire animant la boulangerie sous les yeux des clients. Je récupère mon enfants et lui enfile son manteau. 

Moi : en tout cas, merci beaucoup pour ce que vous faites pour moi

Aicha : c'est normal ma chérie ne t'en fais pas 

Elle me prends chaleureusement dans ses bras et embrasse le front d'Imen, avant que l'on s'en ailler vers l'arrière boutique pour salué tout le monde. On sort ensuite du point de vente, et je m'empresse d'attacher la petite dans le véhicule, que je met en route, en direction de mon appartement. 

 [...]

Farès : allo ? 

Moi : salaam w aleykoum Farès 

Farès : w aleykoum salaam Nassima, ça va tu vas bien ? 

Farès à toujours étais de mon coté depuis le début... Et j'ai l'impression que la foudre que j'ai attiré retombe peu à peu sur lui. 

Moi : oui ça va et toi ? 

Farès *rire* : c'est plus à toi qu'à moi qu'il faut demander

Moi *souffle* : je me suis exprimé comme j'aurais du m'exprimer depuis le début sans doute 

Farès : c'est jamais facile de s'exprimer face à sa famille et j'imagine, encore moins sur ce genre de sujet, mais tu as bien fait

Moi : je sais pas trop si j'ai bien fais 

Farès : je t'assure que si, après ton départ et les dernière paroles que tu à dites, baba il parler plus, et il s'est retourné vers nous en nous demandant si, il avait trop fauté pour se rattraper, je pense qu'il à enfin pris conscience de ce que c'étais qu'un "viole"

Moi : depuis le début, il pensait que j'avais voulu ce moment, et c'est seulement maintenant qu'il se pose des questions ? 

Farès : il à merder

Moi : il à plus que merder Farès, il m'a virer de la maison en interdisant à ma propre famille de prononcé mon propre nom ? En me reniant presque comme étant son enfant !

Farès : il s'en veut, il s'en veut beaucoup, mama la même gifler pour lui remettre les idées en place dès que tes partit, elle avais jamais lever sur quelqu'un encore moins sur baba, c'est là qu'il à compris qu'il avait plus que fauté 

Moi : il ta rien dit à toi ? 

Farès : il osais même plus me regarder, Azhar il lui à balancer toute sa haine, et Yasmine et lui son rentrer avec Mélissa et moi, ils se sentaient pas de rester là bas

Moi : je me demande c'est quand que sa va se finir 

Farès : insha'Allah bientôt t'inquiète je gères 

Moi : d'ailleurs, j'ai besoin de toi pour gérer autre chose aussi 

Farès *rire* : faut que je te prennes Imen c'est sa ? 

Moi : euh ouais 

Farès *rire* : c'était sur, on est en semaine et tu travailles, mais j'ai percuté que quand je suis rentré à la maison parce que j'avais crier "Imen" et je que je l'entendais pas rire 

Moi *rire* : n'importe quoi vous 

Farès : je passe la chercher maintenant ? 

Moi : si tu peux oui 

Farès : azy, je me met en route 

Moi : merci Farès 

Farès : t'inquiète p'tite sœur 

[...] 

Farès sonne au numéro de l'appartement, et j'appuie sur le bouton de l'interphone en lui indiquant que je descends. Je récupère Imen muni de sa petite peluche et je sors de l'appartement, cette dernière dans mes bras....