Chapitre 61

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PDV NASSIMA 

Ryad : comment le sol il grince !

Posant nos deux pieds dans la boite métallique volante, mon mari se met à paniquer. 

Moi : tu as le numéro de nos siège ? 

Il regarde attentivement les sièges sans pour autant prêter attention à ma question. 

Ryad : comment les ceintures elles ont pas l'air d'être sécuriser ! 

La panique se fait ressentir. 

Moi : Ryad ? 

Ryad : à tout moment la vitre du hublot ne survis pas aux décollages et on se la prends en pleine tète comme un tire de sniper wsh  

Moi *rire* : mais, zen attitude Ryad, on vient à peine de monter dans l'avion 

Ryad : Hein ? 

Je ris, et attrapes le papier indiquant nos sièges, puis attrape la main de mon mari pour allez nous installer. 

Ryad : je suis pas serein 

Je m'assois au coté du hublot, avec Ryad sur le siège coté couloir, les passagers montant et prenant place à leurs tour aux emplacement qui leurs ont était attribué. 

Moi : pourquoi tu paniques autant ? 

Ryad : j'aime vraiment pas les avions, la sensations du décollage, du vol, et plein d'autre truc, sa me rassure pas 

Moi : mais faut pas paniquer autant, c'est des professionnelles aux commandes 

Ryad : professionnelle ou pas, sa restes flippant 

Je pose ma main sur sa cuisse, cessant ses tremblement. 

Moi : calme omri, ta cas dormir un peu

Ryad : ouais

Je cale sa tête sur mon épaule, et il penche un peu son corps, pour être plus confortablement installé.

Ryad : attend, tu m'as appelé comment ? 

Moi *rire* : dors 

Ryad *rire* : aaahhh sa assume plus maintenant hein

Moi *rire* : gnagnagnagnaaa

Ryad *chuchote* : c'est dommage, moi j'aimais bien 

Moi *rire* : on est ensemble pour toute une vie j'ai largement le temps de t'appeler comme sa 

Ryad: oh yeaaahh 

[...] 

Ryad *rire* : c'était moi qui était censé dormir 

Moi *baille* : oui ba j'était fatigué

Je frotte frénétiquement mes yeux, pour les décoller de cette petite sieste imprévu, tandis que Ryad me regarde en souriant. 

Ryad : moohh mon bébé

Il me cale dans ses bras, me cajolant de gauche à droite, malgré l'accoudoir qui nous sépare. 

Moi *rire* : on est dans un avion, arrête tu va le faire tanguer 

Il me pousse. Violent le garçon. 

Ryad : tsssss même plus le droit d'embêter ma femme 

Moi *rire* : désolé de stopper ta deuxième passion 

Ryad *rire* : tu me brise le cœur tu le sais sa ? 

Moi : avec un cœur de pierre + pansement c'est à dire moi, ton petit cœur ne peux être briser   

Ryad : un pansement de qualité 

Moi *clin d'œil*: le meilleure des pansements 

Hôtesse de l'air *annonce micro*: chère passager, votre vol en direction de la Guadeloupe, touche à sa fin, vous êtes prier de bien vouloir attaché vos ceinture pour un atterrissage toute en douceur, l'équipe et moi même vous remercions 

Ryad *arabe* : en douceur, en douceur, en douceur de quoi même

Moi *arabe+rire* : Ba tu vois quand tu veux que tu sais parler arabe  

Ryad : quoi ? 

Moi : respire Ryad, respire, on va juste atterrir 

Ryad : "juste" atterrir ba bien sur  

Moi : bon, tu les veux tes vacances ou pas ? 

Ryad : mais c'est quoi cette question ? 

Moi : voila, donc tu fermes tes yeux, tu tiens ma main, et tu te tait 

Je balance un bout de mon hijeb par dessus mon épaule, tandis qu'il me regarde. 

Ryad *rire* : tu deviens autoritaire  

Moi *rire* : et toi tu deviens casse tête 

Ryad : mais tu m'aimes quand même 

Moi : sa je dis pas 

Ryad : rolala la fierté algérienne elle nous tuera un jour 

Moi *rire* : n'importe quoi 

Hôtesse de l'air *annonce micro* : nous sommes arrivée à destination, merci d'avoir voyager avec ********, nous espérons que vous ayez fait bon vol en notre compagnie, a très bientôt 

Ryad : ah ba voilà, tu vois ? Je t'avais dit que sa allait bien se passer ! 

Je le regarde mal. 

Ryad : je rigole habiba, allez vient 

Il m'attrape la main, et on se lève par ranger, avant de poser les pieds sur le sol guadeloupéen. Une douce chaleur vient nous envelopper presque instantanément, changeant du climat français auquel ont est habitué. 

Moi : wow 

Ryad : vient, on va récupéré nos valises 

Il enlace nos doigts en entrant dans l'aéroport, et je le suit jusqu'au tapis, où les différents bagages des voyageurs défilent dessus. La valise de Ryad, que je reconnais sans hésité, fait son apparitions sur le tapis. 

Moi *rire* : Ryad c'est ta valise là 

Ryad : mais nan, la mienne elle est pas aussi opaque que sa 

Moi *rire* : et le "RK" en argenté sur le bas coté de la valise c'est quoi ? 

Ryad *rire* : ah mais oui j'ai pris celle-là 

Il lâche ma main, et se précipite pour récupéré son bagage ainsi que le mien qui suivais juste derrière, dont je le débarrasse quelque seconde après. Je relève ma tête après avoir sortit la lance de la valise pour permettre de la faire rouler au sol, et remarque Ryad en pleine séance photo. Il termine par les tchèquer de bon cœur, revenant vers moi ensuite. 

Ryad *rire* : même en Guadeloupe je suis reconnu   

Moi *rire* : c'est ce qu'on appel la vie d'artiste 

Il ris, et non loin de là, on aperçois probablement ce qui nous semble être un chauffeur, muni de sa pancarte avec les initiales de mon mari. On se dirige vers lui, et ils nous accueil en commençant par nous souhaiter que du bonheur pour notre début de vie de marié, nous débarrassant de nos bagages, marchant jusque la voiture pour les placer dans le coffre, nous sur la banquette arrière et le chauffeur à la place conducteur. 

[...]

RK // Minutes // RKOù les histoires vivent. Découvrez maintenant