Hitman

Chapitre 9

Andrew

- Aller c'est bon ! Je te l'ai déjà dit, je ne vais pas le répéter !

Je dois faire attention, j'admets que je suis allé trop loin, me voilà à parlé à une porte ou derrière se trouve ma protégé, elle est fâché, il y a de quoi.

J'ai toujours embrasé le temps passé seul, du jour au lendemain je me retrouve à faire du babysitting, je dois en vouloir à personne, c'est moi qui me suis mise dans cette merde. J'ai tendance à oublié que les femmes sont compliqué, fragile... Je me perds dans mes agissements qui sont clairement puéril. Je suis dans une situation qui n'est pas en ma faveur, je dois impérativement faire profil bas, chose que je déteste. Pour le bien de tous, je dois être un minimum respectueux, si je ne change pas, cela pourrait se retourner contre moi. Les rôle se sont inversé.

Je ne suis pas diseur de bonne aventure, je sais déjà comment se dérouleront les prochains jours, une vraie catastrophe.

- Redis le !

Comme un soumis, j'obéis, si je ne veux pas d'ennui, c'est la meilleur chose à faire.

- Je m'excuse ! Je te promet de faire des efforts, mais s'il te plaît, ne contact personne qui vient de l'extérieur, sa pourrai te mettre en danger. Tony à énormément d'argent, son statut lui permet de corrompre n'importe qui, un flic, le FBI, des politicien, tu sais, les ripoux il y en a à chaque coin de rue, reste sur tes gardes, s'il te plait, fait moi confiance. Nous devons unir nos force si nous voulons pas que cela se produits.

Je ne sais pas d'où je sors ses conneries, du moment que sa sauve mes fesses, je jouerai cette comédie jusqu'à ce que Amber sorte de la chambre.

Quelques minutes s'écoulent quand enfin la porte s'ouvre.

- Adam je rêve ou il y a qu'une chambre !

Moi qui pensé avoir un peu de répit, c'est raté. Sa y est, nous voilà reparti pour un tour. Son caractère m'énerve, je m'en commode, la question à savoir, jusqu'à quand ?

- Oui, il y en a qu'une, et alors ? Il es ou le problème.

- Vous prendrais le canapé.

Elle es marrante, d'un instant à l'autre Amber passe du tutoiement au vouvoiement, je me demande si il lui manquerai pas une case. Concernant le canapé, il n'en ai pas questions !

- Non je ne crois pas. Arrêté de faire la rabat joie, le lit est suffisamment large pour nous deux, je mettrais des coussins pour créé une barrière si cela peut vous rassurer.

J'espère que Amber cèdera à ma demande, le canapé n'est pas adaptée pour une corpulence comme la mienne, il n'y a pas seulement ça, j'ai le sommeil perturbé. Je tue des gens, je suis immonde en tant que personne, ce n'es pas pour autant que je dors paisiblement sur mes deux oreilles. Être confortablement installé m'aide à ne pas sombré dans la folie. Vous devez pensez que c'est déjà foutu, vous avais sans doute raison.

- Adam tu m'écoute merde !

Loin dans mes pensées les plus sombres, j'avais complètement oublié que je n'étais plus seul.

- Tu disais ?

- Adam, je commence vraiment en avoir marre, pas uniquement de toi, de tout en général ! Ma vie es devenu un véritable enfer. Je ne sais pas si je tiendrai le coup encore longtemps. Qu'est-ce que j'ai fait au petit Jésus pour qu'il me punis de la sorte au point de vouloir ma mort, hein ? Dit moi.

Étonnamment je ressens un sentiments bizarre, je ne serai vous décrire, un alliages d'émotions est en train de se mélangé. Voyant Amber faiblir, je me mets à sa hauteur. Elle pleure, je ne réagi pas, jusqu'à ce que mon coeur prend l'initiative à ma place. D'un geste attendrissant, je couvre Amber de mes bras, son corps camouflés au mien, est agréable. Je pensé qu'elle allée me repoussé, étrangement, Amber se laisse bercé, j'ai envie que ce moment dur, c'est inquiétant.

Je mets immédiatement fin à se câlin et me sépare d'elle. Perturbé de l'attraction que Amber produit sur moi, je décide de gardé mes distances. Tout compte fait, dormir à ses côté est une très mauvaise idée. Sa présence me déstabilise, je me retiens d'une forces surhumaine pour maintenir mes pulsions, je dois canalisé mon attirance, pour y parvenir, je dois impérativement me vidé la tête, c'est dans cette partie que Amber s'incruste, comme une tumeur, je dois vite me guérir. Le meilleure des remèdes, selon moi, et de partir, n'importe où, peut importe l'endroit, du moment que je suis loin d'elle, si je reste, je serai tenté par le diable.

- Vous allez mieux ?

Pour caché mon embarras, je pose cette question sans intérêt, Amber hoche la tête en guise de réponse. J'évite son regard, une gêne s'installa, il fallait s'y attendre.

- Oui...merci Adam. Si vous, enfin tu veux dormir dans le lit tu es le bienvenu.

C'est une excellente nouvelle, mais je me doit de refuser.

- Non c'est bon, tu as besoin de ton intimité, je dormirais sur le canapé.

- Sa me dérange pas...

- N'insiste pas, j'ai pris ma décision.

- Très bien, comme tu voudras.

Je regarde Amber avec des yeux de merlan frit, une folle envie de l'embrasser m'envahit, pour ne pas devenir dingue je dois sortir au plus vite de se chalet, j'étouffe.

- Je vais prendre l'air quelque minute.

- Je peux venir avec toi ?

Certainement pas !

- Je serai honoré, mais là, j'ai besoin d'être seul, mon petit rituelle si je puisse dire.

- Je comprends, mais, tu es sensé me protégé, si pendant ton absence Tony apparaît, comment je me défend ?

- Pour l'instant il te crois mort, ne pense pas à ça, personne à par nous savent que nous sommes ici. Ne t'inquiète pas, pour te rassurer prend ceci.

Je fouille dans mon sac et récupère l'un de mes nombreux portable. Je tends l'objet à Amber qui attrape l'objet sans broncher.

- Dans le répertoire mon numéro y est inscrit, tu devras m'appeler uniquement en cas d'urgence, et non pour des futilités. OK ?

- J'imagine que je n'ai pas le choix.

- J'en ai pour une heure ou deux. Ferme bien à clé, n'ouvre à personne.

- C'est bon, je suis peut être irresponsable, mais pas stupide.

- Ah bon ? Je l'aurez cru pourtant.

Mon coeur tambourine tellement fort voyant un sourire s'afficher sur son visage, cela peut s'entendre.

- Tu peux pas t'arrêter, aller file avant que je réplique.

Je suis émerveillé, Amber a énormément de défaut, également des qualités dont j'ai toujours désiré chez une femme. Je réalise que de l'avoir sauvé est dû à mon attirance que je refoulée au plus profond de moi, difficile à encaissé, aucune femme ne m'avait autant bouleversé, et pourtant.

A ce qui paraît, l'erreur est humaine, je suis loin d'être humain, tué des gens est horrible, je suis une espèce sortir tout droit d'un autre monde. J'ai le coeur noyer dans les ténèbres, involontairement, Amber essai de me mettre du côté lumineux, je résiste de toute mes forces.

Je me répète encore et encore mes règles qui n'ont l'air de ne plus m'intéresser, il n'en faut peu pour que je déraille.

Je prends mon sac en main, le laisser ici ne serait pas prudent. Me dirigeant vers la porte, je dérive mon regard une dernière fois en direction de Amber, elle s'engouffre dans la chambre, quant elle disparait, je tourne le poignet avec mille et une question qui défile dans mon cerveau.