Chapitre 20.

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Amber

— Tony est malin, ce petit con à de la suite dans les idées. Bref ! Pourquoi pas reprendre ton avion ? Tu ne penses pas qu'il est mieux de quitter la nouvelle Zélande ?

— Je ne suis pas débile Amber, c'est la première chose à quoi j'ai pensé. Mon avion est à sèche. Tu te doute bien que le réservoir à carburant n'est pas le même qu'une voiture, il stock des litres de kérosène.

— Ah ouais, j'avais pas pensé à ça.

Tant que je suis avec Adam, peu importe l'endroit. Se serait égoïste de ma part si je tenté de bâclé son travail, nos vies sont en jeu, c'est pourquoi je vais m'abstenir, cette idée me semble complètement farfelus. À n'importe quel moment la mission de Adam pourrai se terminer, juste d'y pensé je suis effrayé, j'ai peur qu'après coup Adam met un terme à notre histoire.

- De tout façon c'est foutu. Le délestage de kérosène est une manoeuvre légal mais tout à fait exceptionnel, sans compter qu'il faut avoir une autorisation, chose que je n'ai pas.

— Comment on fait ?

— T'inquiète pas, je sais ou je peux m'en procurer, c'est illégale, mais si nous voulons déguerpir d'ici, c'est la seule solution.

— Je m'inquiète pas, j'te fais confiance.

La voiture ralentit. Adam s'empare de mon visage. Délicatement, il m'embrasse et m'offre un tendre baiser.

— J'espère bien, c'est important pour moi. Je ne sais pas ou cette relation va nous mené, de t'avoir inclus dans ma vie est une chance inespérée.

J'exprime ma joie à travers mon sourire. Adam est un homme attentionné. J'ai envie d'y croire a notre histoire. Si Tony n'avez pas eu l'idée de me tuer, je serai passé à côté de cette belle idylle, c'est un peu grâce à lui, c'est un mal pour un bien. Involontairement, Tony m'a jeté vers le bonheur.

— Sa me touche. Tu me rends heureuse Adam. Je t'aime.

J'ai vu une ouverture, j'attends de même venant de sa part.

— ....Je sais.

Bon, ce n'est pas demain la veille que Adam va me déclaré sa flamme, pour l'instant je n'ai pas d'autre choix que de faire avec. Un jour où l'autre Adam pourra me regardé droit dans les yeux et me dire c'est trois mots que je désir tant. Il à beaucoup de mal à mettre des mots sur se qu'il ressens, une incapacité qui soulève de nombreuse question. Adam à peut être pas envie de se tromper en s'engageant trop vite. Je ne vais pas lui forcé la main, il pourrait se braqué, se n'est pas mon intention. Son passé à dû causé énormément de dégâts, Adam reste souvent impassible, c'est anormal, le déclencheur de ses refus doit contenir des blessures enfouis qu'il ne souhaite pas dévoilé.

J'ai hâte de connaître la vie de l'homme que j'aime, je rêve qu'un jour il m'ouvre la porte de son coeur, se serai une manière de me prouvé qu'il tiens à moi. Je vais patienter le temps qu'il faudra. En amour il faut savoir attendre, et puis, Adam en vaut largement le coup.




Je suis seule, Adam c'est absenté. L'endroit n'est pas rassurant.

Cette ville à écopé d'une réputation peu flatteuse en raison de tout les crimes qui y ont eut lieu tout les ans.

J'ai verrouillé les portières, je vais évité de me faire agresser, j'exagère sûrement, au moins je suis en sécurité.

Des passants que je suppose être des toxico font battre mon petit coeur qui est sur le point d'arrêté si Adam ne se magne pas.

Bien sûr que je suis contente qu'après quelque coup de fil Adam à pu réglé le problème du kérosène. J'étais ravis sur le moment, mais là, je ne suis pas aussi enjoué.

— Amber.

Jusqu'à ce que j'entends cette voix, j'étais paralysé. La présence de Adam est immédiat, je suis de nouveau apaisé.

— Alors ?

— Je t'avais dit que que j'en trouverez. Regarde bien le paysage, dans quelques heures nous seront  loin d'ici.

Adam me prouve un peu plus chaque jour que je peux compter sur lui. Il à se don de me redonner foi en l'amour.

— J'ai pas à le faire, la seule chose qui à le mérite d'être mémorisé c'est bien toi.

Le sourire de Adam en dis long.

— Je sais.

Par contre son coté imbu ne se perdra jamais.

— Je rigole. C'est toi le seul beau décor.

Des compliments j'en ai énormément reçu dans ma vie, malheureusement, les hommes qui me dragué n'avaient  qu'un seul but, m'attirait dans leurs lit. Adam n'est pas comme eux, il est vrai, son regards me confirme à l'instant qu'il est sincère.

J'attrape le colle de son tee-shirt, ainsi, je peux avoir son corps contre le mien. Ma bouche s'accorde parfaitement aux siens, sentir sa chaleur me fait du bien.

Nous nous regardons avec désir, je n'ai plus envie de quitter ses bras, c'est ici qu'est ma place.

— Brandon ?

Une voix aiguë se fait entendre à proximité, je ne porte guère attention. Adam à l'air anxieux. Pour ne rien gâché je prends son visage entre mes mains, en vain.

— Brandon, c'est bien toi. J'arrive pas à y croire !

Adam se dégage de mon emprise. Il se retourne et fait face à l'inconnu.

C'est qui elle ?

— Je savais que c'était toi. Un physique comme le tiens ne s'oublie pas.

Je n'aime pas trop ses sous-entendu.  Elle va vite comprendre de quel bois je me chauffe.

— Désolée, vous faites erreurs, faite votre chemin si vous ne voulais pas que je m'énerve.

La femme qui est maquillé comme un camion volé porte son attention sur Adam et ignore complètement ma présence. Quel audace !

— Chérie, merci. Je sais à qui je m'adresse. Après plusieurs nuits passé avec lui, je peux te certifié que c'est resté gravé, hein Brandon ?

Je pourrais l'insulté, le fait que Adam reste silencieux me met dans le doute.

Ils se connaissent ? Si oui, pourquoi l'appelle t-elle Brandon ?

— Adam, tu l'a connais ?

Je commence à perdre patience. Adam est confus, il est gêner, c'est nouveau ça.

Il va me répondre à la fin !

— Tu change de nom aussi vite que tu change de femme.

Elle commence sérieusement a me casser les bonbons cet là. D'ailleurs, j'allais la remettre à sa place quand Adam pris violemment le bras de la femme.

La distance qui me sépare d'eux ne me rassure pas. Je suis bouche bée.

Une envie de les rejoindre et de mettre une claque à chacun me démange les mains, je reste a ma place. Je regarde cette scène avec dégoût. Vu la façon dont ils sont proche, j'en conclus que ce n'est pas une étrangère aux yeux de Adam.

Regardé là, à pailler comme une cruche et à se dandiner autour de Adam, je suis consumer d'une jalousie maladive.

Je ne sais pas de quoi ils parlent, c'est frustrant. Je s'avais que Adam était un homme à femme, son côté Casanova  était bien avant de me rencontrer, c'est ce que je croyais.

À l'instant où la femme pose ses lèvres sur celle de Adam qui ne fait rien pour la repousser, ma jalousie se transforme en déception.

Sa fait mal, c'est douloureux. Je suis  désemparé, perdu.

Mon rythme cardiaque et ma respiration sont en ralenti. J'ai la gorge nouée, ce qui annonce déjà la couleur. Mon coeur n'est pas en pierre, le revendiquer j'en suis incapable.

Je rejoint aussitôt la voiture. Une fois à l'intérieur, ma peine se déverse sur mes joues.

Hitman Où les histoires vivent. Découvrez maintenant