Andrew
Mon physique est un atout, de ce côté, je n'ai pas à me plaindre. Les femmes se plie facilement à mon charme, la preuve tout à l'heure. Quel homme n'aimerais pas que des femmes tombe comme des mouches rien quand vous voyant. Un penchant pour ses idiotes ne mettait jamais arrivé, je tremper mon nuggets dans leurs mayonnaise, sa n'allait pas plus loin. Assouvir à mes désirs, pas de sentiments, et encore moins d'attache me convenez, c'était sans encombre.
Ma rencontre avec Amber met mon corps au défi.
Des visions me reviennent encore.
Alors que je tentais maladroitement de caché mon trouble, je vis le visage de Amber qu'elle deviné tout mes émois. Ses joues empourpré pris une jolie teinte qui à réveiller mes émotions les plus profondes.
Je secoue la tête, ses images de nous sont embarrassantes. C'est un élan périlleux, je dois cessé ce petit jeu.
J'ai honte de le dire, Amber est un véritable danger pour mon coeur. Une nana comme Amber est un piège à mec, elle m'attire, que ce soit son physique, où autre, elle est une embûche insidieusement dessiné. Je dois m'en défaire dès maintenant, resté loin d'elle me semble raisonnable. De lui avoir sauver la vie est une chose, de la vouloir dans mon lit est une tout autre affaire, c'est une bêtise que je dois impérativement m'enlever de la tête.
Je me reconnais plus, que se soit dans mes habitudes, mon comportement, ma façon de pensé, ce n'est pas moi. Je me sens possédé par une âme, un esprit bienveillant c'est emparé de mon corps, je suis à l'ouest, je dois mettre dans mon foutu crâne qu'après avoir épargner Amber du danger, qui est son mari, je repartirai et reprendrai mes activités criminel.
Je ne lis pas l'avenir, j'ai l'a conviction que madame prétentieuse me donneras dû fil à retordre. Je demande sur le champ à être exorciser.
Malgré mes craintes d'être dans la même pièce que Amber, je dois assumer mes actes et vérifiée qu'elle n'ait pas quitté le domicile. Le moindre soupçon pourais me coûter cher, pour rien au monde je ne voudrais me trouver en cage, j'aime trop ma liberté.
Je pénètre dans le petit salon, il fait nuit, je ne vois pas où je mets les pieds. J'allume la lampe torche de mon cellulaire pour éviter de me prendre un mur.
L'air frais de la pièce mis tout mon corps en marbre, je me réchauffe en enveloppant mes bras autour de moi. J'avance dans la pénombre, non loin je vois une silhouette posé sur le canapé. Je m'approche et vérifie que c'est Amber, ce fut le cas.
Elle est bien plus agréable à regarder quand elle dort. Un silence apaisant pour mes oreilles. Son corps est recroquevillé, il fait froid, le chauffage à rendu l'âme. Je n'ai qu'une seule couverture.
Égoïste, je l'ai toujours été, je ne partage jamais ce qui m'appartient. Voyant Amber tremblé comme une feuille, mon côté altruiste resurgit. Être intéressés et dévoué envers autrui ne font pas partie de mes qualités, j'ai même de l'empathie en l'a regardant.
Pour ne pas paraître pour le plus grand des pervers, étant donné que je suis là, à bouffer des yeux sont corps, je décide de détourner la tête, et les talons.
Je le répéterai jamais assez, un piège à homme cette femme.
Difficile de trouver le sommeil quand vous êtes froid comme un mort, tout ça pour une nana qui n'a rien à faire de mon existence. Je me démène comme un acharné pour que son séjour soit un cocon douillet, à croire que je suis qu'un abruti.
*********
Sa fait quelques minutes que je suis réveillée. Le plafond blanc est le seul endroit où je peux me réfugier depuis que mes paupières se sont ouvertes.
Encore dans le lit, je n'ose pas m'aventurer de l'autre côté, faudra bien pourtant. Je m'assois aspirant d'incertitude pour les secondes qui suivent. J'enfile mes pompes sans grande conviction et part rejoindre le fantasme de tout mes désirs.
À peine un pied dans la pièce, une odeur pestilentielle envahi mes narines. Amber es derrière les fourneaux à faire je ne sais quoi. Mes yeux innocents sont immédiatement attirer vers ses fesses. Faut se l'avouer, Amber est bien gaulé. Un corps sublime qui ne demande qu'à être exploré par mes mains. Et bien, cette cohabitation promet.
J'avance lentement évitant tout contact visuel dans sa direction.
— Il n'y a rien à manger dans ce taudis, j'ai fait avec les moyens du bord. La prochaine fois, je me chargerai des courses.
Elle à des yeux derrière la tête ou quoi ! Comment à t-elle su que j'étais là ? Bref, du moment qu'elle sert à quelque chose, de plus, j'ai une faim de loup.
— C'est prêt ! À table.
— J'espère que tu n'a pas injecté de poison dans ma nourriture.
— J'ai été tenté, mais qui viendra me sauver des méchants.
J'ai l'irrésistible envie de sourire, je garde mon masque d'indifférence pour ne pas m'y perdre. Je constate que madame à de l'humour noir, notre seul point commun.
— En parlant des méchants, si tu ne veux pas qu'ils nous retrouve, nous devons nous magné pour ne pas raté notre vole.
— Je sais, pour l'instant j'ai besoin de force, alors met là en veilleuse et déguste plutôt mon chef d'oeuvre.
Je jette un œil sur ce qu'Amber considère de gastronomie. Je devrais avoir l'eau à la bouche, à la place, j'ai des hauts le cœur. Une bouillie visqueuse est étalé dans mon plat.
— Quoi ? Tu n'a même pas encore goûté et tu tire une sale grimace. L'apparence peut cacher beaucoup de chose, si sa trouve, c'est délicieux.
Je me sens automatiquement visé par ses mots.
— Allé Mange ! Sa va être froid.
— Non merci, sans façon, je préfèrerais mangé de la pâtée pour chien plutôt que d'avaler cette saloperie.
Je décide de quitter la table. Moins je l'a voit, mieux je me porte.
Je suis sur le point d'atteindre la porte quand un objet effleure mon visage. Je regarde le sol et vois une fourchette sur le carrelage. Elle est sérieuse ?
— T'a décidément un grave problème de communication !
— Tu m'énerve. C'est pas ma faute si je ne peux pas te saquer !
— Faudra bien t'y faire ! Soit tu mets tes manières de princesse de côté, et tout ira bien, soit je me barre et tu te démerdera seul !
C'est bon ! J'en ai ras la casquette, j'ai gardé mon sang froid d'une habilité impressionnante, ma patience à des limites, Amber vient de les franchir.
Telle une enfant, Amber baisse la tête et joue avec sa nourriture, enfin, si on peut appeler ça ainsi. J'espère que j'étais assez clair, de devoir constamment la réprimander devient agaçant.
Je prends une grande inspiration, j'ai besoin de me calmer, si je ne le fait pas, Amber pourrais se retrouver, plus tôt qu'elle ne le pense sans domicile fixe.
— Adam ?...
— Quoi encore ?!
Je suis fatiguée, son comportement est digne d'une adolescente.
— Tu pouvais me laisser mourir de froid, mais tu ne l'as pas fait, alors... merci, pour la couverture.
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Hitman
AcciónAndrew Klimt à l'allure d'un homme banale au premier abord. Pas d'ami ni de famille, ce qui est loin de le déranger. C'est un homme solitaire et à comme seul compagnon sa flasque d'alcool. Andrew s'inflige à rester malheureux. Vivre aux crochets de...